Le Petit Bulletin, les lundis et les bouclages

Édito du n°976 - mercredi 3 juin - Petit Bulletin Grenoble

Peut-être n’êtes-vous pas au courant (d’ailleurs on ne voit pas pourquoi vous le seriez, sauf à fréquenter de près un membre du journal – vous avez les loisirs que vous voulez, on ne juge personne) mais le Petit Bulletin que vous tenez dans les mains, comme les 975 autres Petit Bulletin avant lui (oui, on va bientôt faire la teuf pour notre numéro 1000 – comptez avec vos doigts pour savoir quand, sachant qu’on s’arrête de paraître le 8 juillet et qu’on recommence le 2 septembre) a été bouclé un lundi – il n’y avait pas trop de parenthèses et de tirets dans cette phrase ? Soit après un week-end qui est souvent agité – celui qui vient de s’achever, il y avait au moins 258 possibilités à Grenoble pour ne pas s’ennuyer (oui, encore un tiret – et une parenthèse).

Du coup, rue Ampère (c’est de là qu’on vous écrit), les bouclages sont la plupart du temps intenses, tardifs, et on en ressort presque toujours lessivés, avec des corps et des cerveaux seulement aptes à regarder les débats théâtraux de Mots croisés sur France 2 ou, encore mieux, les fonds d’écran psychédéliques de nos ordis – ça dépend en fait de l’intensité du week-end passé (celui qui vient avec cette fameuse Fête des Tuiles risque normalement d’être chargé – promis, c’est la dernière parenthèse et le dernier tiret que vous trouverez dans cet édito).

Voilà, on avait ça sur le cœur depuis un bout de temps, et on a voulu vous le dire cette semaine. Du coup, lundi prochain, pensez à nous à un moment dans la journée, ça nous fera grandement plaisir.

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