Nicolas Ker, Arielle Dombasle et le sublime

Édito du n°1031 - mercredi 2 novembre - Petit Bulletin Grenoble

Au PB, on n’écrit que sur des artistes qui passent d’une manière ou d’une autre par chez nous (en concert, sur scène, au ciné…), qu’ils soient vivants ou morts – comme cette semaine avec un sémillant Kandinsky mis en lumière par le Musée de Grenoble. Une ligne éditoriale qui a, certes, une certaine cohérence (vas-y qu’on s’envoie des fleurs) mais qui, parfois, nous déchire le cœur : pourquoi personne, dans le monde grenoblois de la culture, ne se décide à faire venir untel ou unetelle qu’on s’enflamme sur son incroyable talent ?

Ainsi introduisons-nous, avec longueur mais panache (paf, une nouvelle rose en pleine poire), cet édito qui causera donc d’une réussite que le public grenoblois n’aura sans doute pas la chance de découvrir en live (on commence à connaître les programmateurs du coin) : le sublime album La Rivière atlantique du duo d’un temps Nicolas Ker (du groupe Poni Hoax) et Arielle Dombasle (qu’on ne présente plus).

Un mariage audacieux : lui, chanteur-auteur-compositeur à fleur de peau, comme beaucoup de téléspectateurs ont pu s’en rendre compte un samedi soir chez Ruquier ; elle, interprète touche-à-tout Glamour à mort et bourrée de recul sur elle-même.

Et un mariage qui fait des merveilles, en anglais dans le texte sur des orchestrations amples très romantisme noir. Comme on vous sent sceptiques, écoutez Happiness Still in Blue pour vous en convaincre. Voire, soyons fous, tout l’album. Avant un concert à Grenoble ?

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