Gloire au campus de Grenoble (enfin, de Saint-Martin-d'Hères)

Édito du n°1091 - mercredi 4 avril 2018 - Petit Bulletin Grenoble

Cher campus grenoblois. Tu m’as accueilli pendant mes trois premières années universitaires (de 2002 à 2005 pour celles et ceux qui aiment calculer les âges), moi qui m’étais lancé dans une licence d’économie et gestion – et qui, au passage, ai très vite laissé tomber le côté gestion. Certes, je te rejoignais seulement le matin (en retard en plus, et c’était plus de ma faute que de celle du tram) et te quittais en fin de journée (j’avais un appart près de la gare), mais tout de même, ensemble, nous avons vécu des moments intenses.

Cher campus grenoblois. Aujourd’hui, une décennie et des poussières après t’avoir laissé, je te le dis : tu as vraiment la classe. Ce dont je ne m’étais pas franchement rendu compte en te découvrant, moi qui étais d’abord rebuté par ton côté bétonné trop prononcé. Alors que tu es un véritable écrin en pleine nature, avec vue imprenable sur les massifs. Et que tu regorges d’un nombre impressionnant d’œuvres d’art dont certaines m’étaient encore inconnues jusqu’à hier.

Cher campus grenoblois. Tu trouveras donc dans ce numéro un dossier sur ton côté artistique prononcé, réalisé notamment grâce à celles et ceux qui ont pour mission de te valoriser à l’année. Sache dès lors que la prochaine fois que je viendrai te voir, pour un concert, un spectacle ou toute autre activité, je te regarderai avec plus d’amour que d’habitude, pleinement conscient de ton immense valeur.

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