Gloire aux festivals et, surtout, à celles et ceux qui les font

Édito du n°1100 - mercredi 20 juin 2018 - Petit Bulletin Grenoble

Dans la vie, on peut travailler H24 pour se faire un max de fric et s’assurer un train de vie personnel confortable. Ou l’on peut s’investir dans la culture de proximité, secteur économique certes qui n’assure pas un train de vie à la Beyoncé et Jay Z, mais qui permet plutôt – attention, ça va être cul-cul ce que nous allons écrire – d’offrir du bonheur aux gens – nous vous avions prévenus. C’est justement ce qu’ont choisi de faire celles et ceux qui s’occupent des festivals dont nous allons causer dans ce (gros) numéro.

Sans leur investissement considérable en temps (surtout dans le cas de petits festivals – les gros mastodontes sont tout de même dans des situations économiques plus confortables), sans leur souci constant d’apporter des propositions culturelles originales à leurs voisins (au sens large), sans leur énergie souvent polyvalente (et vas-y qu’un jour je suis chargé de com et le lendemain je m’occupe de gérer le stock de la buvette), rien ne serait possible pour nous, simples festivaliers bien contents de pouvoir s’encanailler culturellement une fois l’été venu.

Alors merci à vous, chers bénévoles et salariés des festivals, pour l’utilité sociale énorme de votre engagement et votre apport considérable à ce que l’on appelle le vivre ensemble. Comme nous, vous serez sans doute pétés de thunes dans une autre vie !

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