"C'est comme ça", vraiment ?
Édito du n°1134 - mercredi 22 mai 2019 - Petit Bulletin Grenoble
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Édito du n°1134 - mercredi 22 mai 2019 - Petit Bulletin Grenoble
Édito du n°1134 - mercredi 22 mai 2019 - Petit Bulletin Grenoble
Des chiffres de morts (en Méditerranée notamment) qui s’additionnent. Des vivants qu’on croise ici et là (par terre dans les rues par exemple) sans ne même plus y prêter attention. La routine quoi. Puis de toute façon, que pouvons-nous faire à notre petite échelle ? Sachant qu’en plus, il y a de nombreux sujets tout aussi brûlants – comme la planète qu’on dégueulasse tellement qu’elle va finir par imploser.
Sauf qu’heureusement, il y a toujours des personnes pour nous sortir de notre léthargie collective, en mettant par exemple simplement des faits sur la table. C’est le cas de Violaine Schwartz avec son récent livre Papiers, suite de récits édifiants d’hommes et de femmes qui, en Afghanistan, en Arménie ou encore en Éthiopie, ont dû tout quitter pour des raisons de vie ou de mort. Ou pour simplement espérer un avenir meilleur, ici, en France.
Tribune Libre le Mardi 2 juillet 2019 | Édito du n°1139 - mercredi 3 juillet 2019 - Petit Bulletin Grenoble (...)
Un livre fort dont l’autrice viendra parler jeudi 23 mai à Grenoble. Et qui questionne une nouvelle fois : mais comment pouvons-nous laisser une partie de l’humanité crever à nos portes, comme si elle l’avait bien mérité (pour paraphraser la chanson de Clarika sur le sujet) ? Une question presque bête à écrire comme ça (le monde, c’est évidemment plus compliqué qu’une série de bonnes intentions), certes, mais devons-nous nous contenter d’être émus cinq minutes avant de hausser les épaules d’un cruel "c’est comme ça" ? Pas sûr...
Des chiffres de morts (en Méditerranée notamment) qui s’additionnent. Des vivants qu’on croise ici et là (par terre dans les rues par exemple) sans ne même plus y prêter attention. La routine quoi. Puis de toute façon, que pouvons-nous faire à notre petite échelle ? Sachant qu’en plus, il y a de nombreux sujets tout aussi brûlants – comme la planète qu’on dégueulasse tellement qu’elle va finir par imploser.
Sauf qu’heureusement, il y a toujours des personnes pour nous sortir de notre léthargie collective, en mettant par exemple simplement des faits sur la table. C’est le cas de Violaine Schwartz avec son récent livre Papiers, suite de récits édifiants d’hommes et de femmes qui, en Afghanistan, en Arménie ou encore en Éthiopie, ont dû tout quitter pour des raisons de vie ou de mort. Ou pour simplement espérer un avenir meilleur, ici, en France.
Tribune Libre le Mardi 2 juillet 2019 | Édito du n°1139 - mercredi 3 juillet 2019 - Petit Bulletin Grenoble (...)
Un livre fort dont l’autrice viendra parler jeudi 23 mai à Grenoble. Et qui questionne une nouvelle fois : mais comment pouvons-nous laisser une partie de l’humanité crever à nos portes, comme si elle l’avait bien mérité (pour paraphraser la chanson de Clarika sur le sujet) ? Une question presque bête à écrire comme ça (le monde, c’est évidemment plus compliqué qu’une série de bonnes intentions), certes, mais devons-nous nous contenter d’être émus cinq minutes avant de hausser les épaules d’un cruel "c’est comme ça" ? Pas sûr...