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ECRANS

"Avatar" : une nouvelle dimension

Annoncé comme une révolution technologique et esthétique, "Avatar" est avant tout un superbe film de science-fiction et d’action à la portée symbolique bienvenue, qui marque le grand retour d’un metteur en scène de génie : James Cameron.

ECRANS

"Avatar" : une nouvelle dimension

Annoncé comme une révolution technologique et esthétique, "Avatar" est avant tout un superbe film de science-fiction et d’action à la portée symbolique bienvenue, qui marque le grand retour d’un metteur en scène de génie : James Cameron.

par Christophe Chabert

Vendredi 11 décembre 2009
2350
LECTURES

par Christophe Chabert

Vendredi 11 décembre 2009
2350
LECTURES

Immersif. C’est ce qu’Avatar promettait d’être, en créant un monde entièrement neuf avec des techniques révolutionnaires inventées pour l’occasion. Immersif, Avatar l’est en définitive, mais ni plus ni moins que les précédents chefs-d’œuvre de James Cameron. Ça s’appelle la mise en scène, et ça n’est pas donné au premier pékin venu, surtout s’il s’appelle Michael Bay ou Roland Emerich, dont les héros décérébrés aux envies de destruction massive soulignées par un montage épileptique sont renvoyés par ce grand film de SF là où ils n’auraient jamais dû sortir : à la poubelle.

L’œil de Cameron fait mouche dans Avatar, et ce n’est pas pour rien s’il est au centre du film (qui commence et se termine sur un œil qui s’ouvre, tandis que «can you see ?» est une phrase récurrente du dialogue). Telle était la dernière frontière à explorer pour le cinéaste. Non pas cette planète Pandora créée ex nihilo, avec sa faune et sa flore délirantes, ses indigènes bleus filiformes, ses décors majestueux ; mais ce regard que la motion capture n’arrivait pas à reproduire, et sur lequel Cameron a braqué tous ses efforts pour en faire sortir des émotions aussi puissantes que celles véhiculées par un acteur dans des prises de vues traditionnelles.

L’empathie éprouvée pour les créatures d’Avatar est le meilleur indicateur de sa réussite, mais on ne peut s’empêcher de penser que ce regard est aussi celui d’un metteur en scène de retour à la fiction après 12 ans d’absence, décidé à prouver qu’il est toujours le patron dans le cinéma américain…

Aliens américains

Si le scénario d’Avatar n’a pas peur des conventions hollywoodiennes, James Cameron introduit un dialogue très pertinent entre ce classicisme narratif et la modernité technologique qu’il utilise. L’intrigue montre comment Jake Sully, marine paralytique (détails importants, il a pris la place de son frère jumeau, scientifique tué dans un fait divers, et il ne peut se payer avec sa pension l’opération qui lui rendrait ses jambes) doit s’introduire au sein de la communauté Na’Vi grâce à un avatar créé à partir de son ADN. Il abandonne donc son corps diminué pour une enveloppe charnelle étrangère et en pleine santé, conservant son esprit d’Américain mélancolique.

Il fait ainsi l’expérience d’un spectateur du film : passer de la réalité au virtuel, de l’image "plate" à sa recréation en trois dimensions. Mais pour Sully, ce faux devient le vrai, le réel n’étant plus que la répétition de gestes vides de sens — le journal vidéo qu’il tient et où l’on constate sa dégradation physique. Pour Cameron, ce glissement est aussi un déplacement gonflé du point de vue. Il invente de toutes pièces la culture des Na’Vis, leur langue, leur religion, leurs rites, et pousse son héros à prendre fait et cause pour ces autochtones agressés par une nation belligérante agissant au nom du profit.

Les Na’Vis, ce sont les Indiens, les Viet-congs ou les Irakiens, tous les peuples que l’Amérique a voulu "civiliser" par la force et qu’elle a fini par détruire par intérêt. Discours politique surprenant dans un film où le cynisme est royalement absent, et qui du coup évite de justesse la naïveté. Ici, les "aliens", ce sont les Américains — c’est dit texto dans le film… Titanic montrait l'émergence de l'Amérique sur les restes d’un naufrage européen ; Avatar décrit un pays à son tour naufragé qui va coloniser une culture saine. Le futur rejoint le passé, la boucle est magistralement bouclée…

Ce que filmer veut dire

Même si ce triple fond est passionnant, il ne serait rien sans le plaisir extraordinaire avec lequel James Cameron enchaîne les morceaux de bravoure visuels. Car Avatar, on l’a déjà dit, est l’œuvre d’un immense metteur en scène, qui rappelle dès que l’occasion se présente ce que filmer veut dire. La dernière partie est ainsi un sommet de cinéma d’action, où le réalisateur organise l’espace et la durée en virtuose, iconise au maximum ses personnages au sein des plans, insiste sur chaque détail pour mieux les réutiliser en cours de séquence…

Cette grande bataille entre des humains mécanisés et des Na’Vis en communion avec les espèces de leur planète est une synthèse parfaite de tout le cinéma de Cameron, condensé dans une demi-heure de spectacle total et jubilatoire comme on n’en avait pas vu depuis Les Deux tours. Avatar procure donc ce grand frisson tant attendu et se révèle à la mesure de l’événement annoncé. Une révolution ? On verra… Un excellent film, ça, c’est certain !

Avatar
De James Cameron (ÉU, 2h41) avec Sam Worthington, Zoé Saldana, Sigourney Weaver…

Immersif. C’est ce qu’Avatar promettait d’être, en créant un monde entièrement neuf avec des techniques révolutionnaires inventées pour l’occasion. Immersif, Avatar l’est en définitive, mais ni plus ni moins que les précédents chefs-d’œuvre de James Cameron. Ça s’appelle la mise en scène, et ça n’est pas donné au premier pékin venu, surtout s’il s’appelle Michael Bay ou Roland Emerich, dont les héros décérébrés aux envies de destruction massive soulignées par un montage épileptique sont renvoyés par ce grand film de SF là où ils n’auraient jamais dû sortir : à la poubelle.

L’œil de Cameron fait mouche dans Avatar, et ce n’est pas pour rien s’il est au centre du film (qui commence et se termine sur un œil qui s’ouvre, tandis que «can you see ?» est une phrase récurrente du dialogue). Telle était la dernière frontière à explorer pour le cinéaste. Non pas cette planète Pandora créée ex nihilo, avec sa faune et sa flore délirantes, ses indigènes bleus filiformes, ses décors majestueux ; mais ce regard que la motion capture n’arrivait pas à reproduire, et sur lequel Cameron a braqué tous ses efforts pour en faire sortir des émotions aussi puissantes que celles véhiculées par un acteur dans des prises de vues traditionnelles.

L’empathie éprouvée pour les créatures d’Avatar est le meilleur indicateur de sa réussite, mais on ne peut s’empêcher de penser que ce regard est aussi celui d’un metteur en scène de retour à la fiction après 12 ans d’absence, décidé à prouver qu’il est toujours le patron dans le cinéma américain…

Aliens américains

Si le scénario d’Avatar n’a pas peur des conventions hollywoodiennes, James Cameron introduit un dialogue très pertinent entre ce classicisme narratif et la modernité technologique qu’il utilise. L’intrigue montre comment Jake Sully, marine paralytique (détails importants, il a pris la place de son frère jumeau, scientifique tué dans un fait divers, et il ne peut se payer avec sa pension l’opération qui lui rendrait ses jambes) doit s’introduire au sein de la communauté Na’Vi grâce à un avatar créé à partir de son ADN. Il abandonne donc son corps diminué pour une enveloppe charnelle étrangère et en pleine santé, conservant son esprit d’Américain mélancolique.

Il fait ainsi l’expérience d’un spectateur du film : passer de la réalité au virtuel, de l’image "plate" à sa recréation en trois dimensions. Mais pour Sully, ce faux devient le vrai, le réel n’étant plus que la répétition de gestes vides de sens — le journal vidéo qu’il tient et où l’on constate sa dégradation physique. Pour Cameron, ce glissement est aussi un déplacement gonflé du point de vue. Il invente de toutes pièces la culture des Na’Vis, leur langue, leur religion, leurs rites, et pousse son héros à prendre fait et cause pour ces autochtones agressés par une nation belligérante agissant au nom du profit.

Les Na’Vis, ce sont les Indiens, les Viet-congs ou les Irakiens, tous les peuples que l’Amérique a voulu "civiliser" par la force et qu’elle a fini par détruire par intérêt. Discours politique surprenant dans un film où le cynisme est royalement absent, et qui du coup évite de justesse la naïveté. Ici, les "aliens", ce sont les Américains — c’est dit texto dans le film… Titanic montrait l'émergence de l'Amérique sur les restes d’un naufrage européen ; Avatar décrit un pays à son tour naufragé qui va coloniser une culture saine. Le futur rejoint le passé, la boucle est magistralement bouclée…

Ce que filmer veut dire

Même si ce triple fond est passionnant, il ne serait rien sans le plaisir extraordinaire avec lequel James Cameron enchaîne les morceaux de bravoure visuels. Car Avatar, on l’a déjà dit, est l’œuvre d’un immense metteur en scène, qui rappelle dès que l’occasion se présente ce que filmer veut dire. La dernière partie est ainsi un sommet de cinéma d’action, où le réalisateur organise l’espace et la durée en virtuose, iconise au maximum ses personnages au sein des plans, insiste sur chaque détail pour mieux les réutiliser en cours de séquence…

Cette grande bataille entre des humains mécanisés et des Na’Vis en communion avec les espèces de leur planète est une synthèse parfaite de tout le cinéma de Cameron, condensé dans une demi-heure de spectacle total et jubilatoire comme on n’en avait pas vu depuis Les Deux tours. Avatar procure donc ce grand frisson tant attendu et se révèle à la mesure de l’événement annoncé. Une révolution ? On verra… Un excellent film, ça, c’est certain !

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De James Cameron (ÉU, 2h41) avec Sam Worthington, Zoé Saldana, Sigourney Weaver…

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