Pop music 1967-2017, graphisme et musique
Notre avis : Quand on rentre dans la première des trois salles de l’exposition, on est surpris par le nombre incroyable de pochettes de vinyle et d’album affichées aux murs. Et, surtout, ravis de retrouver aussi bien des visages familiers comme Patti Smith, Debbie Harry de Blondie, les Doors ou encore les Beach Boys nourrissant des chèvres (pourquoi pas) que des totems graphiques de la pop culture – la langue des Stones, la banane du Velvet Underground, le prisme dispersif des Pink Floyd… Voilà donc une proposition populaire, aux allures de discothèque géante plutôt haut de gamme, démontrant avec force (près de 1300 pochettes) les liens évidents entre graphisme et musique pop mondiale.