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L'art de la fugue

Auteur compositeur au spleen foudroyant, Matt Eliott revient à la Bobine cette semaine défendre les couleurs de son dernier opus, le terrassant "Howling Songs". François Cau

MUSIQUES

L'art de la fugue

Auteur compositeur au spleen foudroyant, Matt Eliott revient à la Bobine cette semaine défendre les couleurs de son dernier opus, le terrassant "Howling Songs". François Cau

L'art de la fugue

par François Cau

Lundi 25 mai 2009
3929
LECTURES

par François Cau

Lundi 25 mai 2009
3929
LECTURES

D’abord, le choc de sa musique. Une voix dont le timbre blasé ne cède jamais à une quelconque tentation monocorde, des mélodies se voilant gracieusement dans moult influences et autres déflagrations impulsives, comme pour mieux faire exploser leur tristesse insondable, des textes amers, fatalistes, beuglant leur amour répulsif d’une humanité décatie, bouffée par ses insupportables contradictions. Ensuite, la découverte du bonhomme sur scène. Une gigantesque silhouette voûtée sur sa guitare, ses pédales d’effet et autres machines, créant des boucles sonores gardant l’auditoire sous leur emprise hypnotique. On commençait à peine à connaître le musicien et son univers qu’on se prend en pleine face une déclinaison live dépassant toutes nos espérances, à la faveur d’une mélancolie à fleur de peau, gouffre sans fond dans lequel on ose à peine regarder de peur d’y voir surgir nos propres terreurs enfouies. Un concert de Matt Elliott se vit avec les tripes, vous secoue physiquement, vous transporte dans des spectres d’émotions refoulées ne demandant qu’à s’épancher. Enfin, l’homme derrière l’artiste. En prenant le temps de discuter avec lui, on a la confirmation qu’on n’a pas affaire à un simulateur tendance. Matt Elliott porte en lui ses fêlures, ses manquements, sa haine du monde contemporain, ses errances bohèmes, bien éloignées du lustre qu’on accole d’office aux artistes maudits autoproclamés.

Fuite en avant

Les choses sérieuses débutent à Londres, en 1996. Cette année marque l’arrivée tonitruante de la drum’n’bass dans la capitale anglaise, drainant derrière elle une flopée d’apôtres omniprésents à chaque coin de rue ou presque. Matt Elliott, fort d’expériences multiples dans des groupes tels que Amp, Flying Saucer Attack ou Movietone, se lance tête baissée dans ce courant, avec la ferme intention d’y apporter sa touche. Sous le pseudo de Third Eye Foundation, il se distingue de la masse incontrôlable des productions en apportant un soin maniaque à des atmosphères mélodiques envoûtantes, et livre des tracks au charme indémodable, là où tant de ses coreligionnaires accusent désormais avec violence le poids des ans (on vous conseille fortement l’écoute de You guys kill me, et notamment de son incroyable In Bristol with a pistol, ou encore I poo poo on your juju, anthologie de remixes de Tarwater, Blonde Redhead ou de Yann Tiersen). Au bout de six années d’activité, plusieurs tempêtes s’agitent sous le crâne de l’artiste, alors au fait de sa gloire : la lassitude de ce genre musical, du fonctionnement de son prestigieux label (Domino, qui compte à présent Franz Ferdinand en son sein duveteux), et de la politique rétrograde d’un Tony Blair ayant retourné sa veste pour mieux donner dans le populisme le plus inconscient. Ce dernier élément pourrait sembler anodin si Matt Elliot n’avait ancré en lui une conscience politique forcenée, quasi aliénante, qui le poussera in fine à s’installer en France.

Naissance d’un songwriter

A l’époque, en dépit des gesticulations inquiétantes d’un Ministre de l’Intérieur dont les dents ne tarderont pas à défoncer le parquet sur quatorze étages, Matt Elliott trouve dans notre beau pays l’occasion de s’épanouir artistiquement. Il laisse provisoirement de côté ses machines (même s’il continuera à faire vivre Third Eye Foundation via quelques DJ sets), s’empare d’une guitare, saute le pas et impose sa fragilité vocale sur ses nouvelles compositions, folk songs sous haute influence balkanique, dans lesquelles l’artiste tente de retrouver la beauté perdue des chants russes que sa mère lui faisait écouter enfant. Le résultat, The mess we made, nous fait découvrir un compositeur hors pair, et un interprète qui n’aura de cesse de s’affirmer au long de la trilogie discographique à venir. Sur Howling Songs, successeur des magnifiques Drinking songs et Failing songs, c’est un Matt Elliott qui a fui la France sarkozyste (la situation lui aura inspiré un morceau, La mort de la France, téléchargeable gratuitement sur ses sites officiels) qui s’exprime, la rage au ventre, la colère diffuse, l’amertume chevillée au corps et au cœur. Bouffé par une intégrité qui le pousse à la radicalisation politique (en une sorte d’apogée de la bile qu’il déverse tout du long de son blog en une logorrhée verbale saisissante, le dernier – et sublime – morceau de l’album se nomme ni plus ni moins que Bomb the stock exchange), rongé par le souvenir des personnes qu’il laisse derrière lui au fil de ses errances (I name this ship The Tragedy…), Matt Elliott exorcise ses démons dans son art. Sans donner dans l’auto-flagellation, mais avec une sincérité et une âme artistiques comme on n’en voit que top peu.

Matt Elliott
Jeudi 28 mai à 20h30, à la Bobine

D’abord, le choc de sa musique. Une voix dont le timbre blasé ne cède jamais à une quelconque tentation monocorde, des mélodies se voilant gracieusement dans moult influences et autres déflagrations impulsives, comme pour mieux faire exploser leur tristesse insondable, des textes amers, fatalistes, beuglant leur amour répulsif d’une humanité décatie, bouffée par ses insupportables contradictions. Ensuite, la découverte du bonhomme sur scène. Une gigantesque silhouette voûtée sur sa guitare, ses pédales d’effet et autres machines, créant des boucles sonores gardant l’auditoire sous leur emprise hypnotique. On commençait à peine à connaître le musicien et son univers qu’on se prend en pleine face une déclinaison live dépassant toutes nos espérances, à la faveur d’une mélancolie à fleur de peau, gouffre sans fond dans lequel on ose à peine regarder de peur d’y voir surgir nos propres terreurs enfouies. Un concert de Matt Elliott se vit avec les tripes, vous secoue physiquement, vous transporte dans des spectres d’émotions refoulées ne demandant qu’à s’épancher. Enfin, l’homme derrière l’artiste. En prenant le temps de discuter avec lui, on a la confirmation qu’on n’a pas affaire à un simulateur tendance. Matt Elliott porte en lui ses fêlures, ses manquements, sa haine du monde contemporain, ses errances bohèmes, bien éloignées du lustre qu’on accole d’office aux artistes maudits autoproclamés.

Fuite en avant

Les choses sérieuses débutent à Londres, en 1996. Cette année marque l’arrivée tonitruante de la drum’n’bass dans la capitale anglaise, drainant derrière elle une flopée d’apôtres omniprésents à chaque coin de rue ou presque. Matt Elliott, fort d’expériences multiples dans des groupes tels que Amp, Flying Saucer Attack ou Movietone, se lance tête baissée dans ce courant, avec la ferme intention d’y apporter sa touche. Sous le pseudo de Third Eye Foundation, il se distingue de la masse incontrôlable des productions en apportant un soin maniaque à des atmosphères mélodiques envoûtantes, et livre des tracks au charme indémodable, là où tant de ses coreligionnaires accusent désormais avec violence le poids des ans (on vous conseille fortement l’écoute de You guys kill me, et notamment de son incroyable In Bristol with a pistol, ou encore I poo poo on your juju, anthologie de remixes de Tarwater, Blonde Redhead ou de Yann Tiersen). Au bout de six années d’activité, plusieurs tempêtes s’agitent sous le crâne de l’artiste, alors au fait de sa gloire : la lassitude de ce genre musical, du fonctionnement de son prestigieux label (Domino, qui compte à présent Franz Ferdinand en son sein duveteux), et de la politique rétrograde d’un Tony Blair ayant retourné sa veste pour mieux donner dans le populisme le plus inconscient. Ce dernier élément pourrait sembler anodin si Matt Elliot n’avait ancré en lui une conscience politique forcenée, quasi aliénante, qui le poussera in fine à s’installer en France.

Naissance d’un songwriter

A l’époque, en dépit des gesticulations inquiétantes d’un Ministre de l’Intérieur dont les dents ne tarderont pas à défoncer le parquet sur quatorze étages, Matt Elliott trouve dans notre beau pays l’occasion de s’épanouir artistiquement. Il laisse provisoirement de côté ses machines (même s’il continuera à faire vivre Third Eye Foundation via quelques DJ sets), s’empare d’une guitare, saute le pas et impose sa fragilité vocale sur ses nouvelles compositions, folk songs sous haute influence balkanique, dans lesquelles l’artiste tente de retrouver la beauté perdue des chants russes que sa mère lui faisait écouter enfant. Le résultat, The mess we made, nous fait découvrir un compositeur hors pair, et un interprète qui n’aura de cesse de s’affirmer au long de la trilogie discographique à venir. Sur Howling Songs, successeur des magnifiques Drinking songs et Failing songs, c’est un Matt Elliott qui a fui la France sarkozyste (la situation lui aura inspiré un morceau, La mort de la France, téléchargeable gratuitement sur ses sites officiels) qui s’exprime, la rage au ventre, la colère diffuse, l’amertume chevillée au corps et au cœur. Bouffé par une intégrité qui le pousse à la radicalisation politique (en une sorte d’apogée de la bile qu’il déverse tout du long de son blog en une logorrhée verbale saisissante, le dernier – et sublime – morceau de l’album se nomme ni plus ni moins que Bomb the stock exchange), rongé par le souvenir des personnes qu’il laisse derrière lui au fil de ses errances (I name this ship The Tragedy…), Matt Elliott exorcise ses démons dans son art. Sans donner dans l’auto-flagellation, mais avec une sincérité et une âme artistiques comme on n’en voit que top peu.

Matt Elliott
Jeudi 28 mai à 20h30, à la Bobine

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Sous les étoiles de Paris

De Claus Drexel (Fr, 1h30) avec Catherine Frot, Mahamadou Yaffa, Jean-Henri Compère

Depuis de nombreuses années, Christine vit sous un pont, isolée de toute famille et amis. Par une nuit comme il n’en existe que dans les contes, un jeune garçon de 8 ans fait irruption devant son abri. Suli ne parle pas français, il est perdu, séparé de sa mère… Ensemble, ils partent à sa recherche. A travers les rues de Paris, Christine et Suli vont apprendre à se connaître et à s’apprivoiser. Et Christine à retrouver une humanité qu’elle croyait disparue.

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