Gringe : « reconstituer le puzzle de notre histoire commune »

Récit / Rappeur et maître slacker auprès de son acolyte Orelsan au sein de Casseurs Flowteurs ou en solo, dans la série Bloqués ou le film Comment c'est loin, Gringe lève le voile dans son premier livre, Ensemble, on aboie en silence, sur un aspect plus grave de son existence, avec lequel il lui a fallu composer parfois dans la douleur : la schizophrénie de son frère Thibault, diagnostiquée il y a vingt ans. Avant une rencontre au Mob Hotel, il nous entretient de ce livre, de son élaboration avec Thibault, également co-auteur, d'un lien fraternel aussi chaotique que puissant, et de son rapport naissant à d'autres formes d'écriture.

Qu'est-ce qui a présidé à ce livre ? Dans le premier chapitre vous expliquez avoir été convaincu par la confortable avance proposée par l'éditeur mais c'est peut-être un peu court...
Gringe : Je n'avais absolument rien prémédité, c'est vraiment la proposition qui déclenche l'envie à un moment où je finissais la tournée de mon premier album solo, où je n'avais rien de prévu, pas de perspectives de dates et assez peur de m'ennuyer. On me proposait cette carte blanche d'écriture en évoquant la participation de mon frère. Voilà comment c'est né, en septembre-octobre de l'année dernière.

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Vous avez dû travailler au corps votre frère Thibault pour le convaincre de faire ce livre dont l'un des sujets est sa schizophrénie. Comment se sont passées ces négociations ?
Avant qu'il ne décide de s'engager il a fallu le rassurer, lui expliquer les enjeux du bouquin, lui parler de mon approche, du fait que je ne comptais pas le résumer à son état de souffrance. Je le dis en rigolant au début du livre mais l'aspect financier à joué dans le sens où il se rendait compte qu'il allait bosser pour un salaire, ce qui était valorisant pour lui. Durant les cinq mois d'écriture, j'ai dû le rassurer tous les jours, lui envoyer des fragments corrigés pour qu'il voie que je respectais sa volonté de ne pas trop en dévoiler.

Quels ont été ses exigences, ses vétos ?
Il avait des exigences sur tout. Parfois c'était à la virgule près, certains fragments me semblaient indispensables et c'était lui le péage, la douane. Je savais que sans lui je ne pouvais rien faire parce qu'il m'aurait manqué trop de matière et en même temps j'aurais trouvé ça très opportuniste d'écrire un livre sur la schizophrénie de mon frère sans son accord. C'était lui le décideur et il m'a fallu ruser, parfois. Les passages sur la sismothérapie, qui sont très intimes, j'évitais de lui en parler, ou alors en surface pour qu'il ne les découvre qu'à la sortie du bouquin. J'avais trop peur qu'il mette son véto alors que c'était pour moi des fragments essentiels à la construction du récit. Je dirais qu'il y a eu 90% d'honnêteté de ma part pour respecter sa volonté et un peu de ruse pour amener le projet à son terme. À l'arrivée, il a tout approuvé, même les passages les plus délicats, que je ne lui avais pas soumis. Mais le livre ne parle pas non plus que de schizophrénie, il y est question de fraternité, de résilience.

Y a-t-il des choses que vous vous êtes interdit de publier ?
Il y a des terrains sur lesquels je ne suis pas allé : ses états de souffrance, de démence parfois, des épisodes qui n'auraient pas spécialement apporté grand-chose au livre et dont l'évocation aurait dépassé la limite qu'on s'était fixé et dont je savais qu'il ne les auraient pas acceptés. Je ne voulais pas faire un livre qui soit pénible à lire, anxiogène. Je voulais un juste équilibre entre les moments difficiles de sa maladie, les épisodes qu'on est censé traverser, lui le premier et l'entourage avec, et les moments plus solaires, plus légers. Parce que la schizophrénie, ce n'est pas que de la souffrance, curieusement des moments de magie en découlent aussi.

Le livre est construit par fragments avec une alternance entre votre texte et des textes de votre frère, Il y a même des moments où le lecteur se perd, si bien qu'on ne sait plus vraiment qui parle, comme si vous parliez d'une seule voix, comment avez-vous construit cela ?
Ça m'est apparu dès le départ : ma voix à la première personne et des textes sur des voyages que Thibault a pu faire, des textes datant de plusieurs années, des textos qu'il m'envoyait pendant l'écriture du livre. J'ai mélangé un peu tout ça. J'avais juste envie de différencier ces textes anciens du reste. En dehors de ça, je ne voulais pas qu'on distingue la voix du narrateur, que les voix alternent jusqu'à ce qu'on ne sache plus forcément qui parle. L'idée était de reconstituer le puzzle de notre histoire commune.

Vous disiez dans une interview que vous ne vous considériez pas comme une personne mature... On sait que bien souvent les épreuves font grandir, qu'écrire sur ces épreuves est aussi un moyen d'avancer. Aujourd'hui, cette expérience de vie et ce livre vous ont-ils permis de grandir et d'être un frère différent de celui que vous étiez, ce « frère malade de [son] frère malade » dont vous parlez ?
Oui, pas totalement sans doute, mais il y a quelque chose dans le livre qui est de l'ordre de la réparation. Au moment où mon frère tombe malade, je suis encore très candide. Ce genre d'événements conduit à relativiser beaucoup sur sa propre vie, change votre rapport à l'autre, apprend l'empathie qui étaient à l'époque des notions très abstraites pour moi dans la mesure où j'étais très égocentré. Mais au-delà de l'écriture, la sortie du livre, la manière dont il est reçu par les gens permet également une réparation.

De quelle manière ?
Par la manière qu'il a de faire écho à la vie de gens qui connaissent cette maladie, des psychiatres travaillant avec des patients schizophrènes, des personnes schizophrènes aussi. C'est une manière de replacer de l'humain dans un accompagnement thérapeutique. Tout un tas de belles choses se produisent qui revalorisent beaucoup mon frère, son histoire, son implication dans le livre. Mais aussi le narcissisme, le beau narcissisme de Thibault qui pendant quinze ans a dû se protéger du regard des autres. Un regard marginalisant, parfois cinglant. Lever le voile sur cette partie de son histoire l'a aussi libéré d'un poids. Je pense qu'il vit ça comme quelque chose de très stimulant. Et ça, c'est très beau. Les premières retombées du livre l'ont sorti de cette solitude dans laquelle on se retrouve face à la maladie. Il se sent moins incompris : jusque là, on avait toujours parlé à sa place et là il pouvait s'exprimer comme il l'entendait.

Vous insistez beaucoup sur cette stigmatisation que vous mettez sur le compte d'une grande ignorance de cette maladie...
Aujourd'hui Thibault est capable de se gérer. Mais il y a toujours ce truc du regard des gens, les idées fausses que l'on se fait sur les malades et qui sont amplifiées par les médias, les représentations qu'on trouve dans les films. Tout un tas de choses dangereuses et stigmatisantes. En parler c'est aussi permettre aux gens de déconstruire ces schémas et de faire un effort d'intégration pour ne plus s'inquiéter des différences qu'ils ne comprennent pas. Il s'agit d'en parler de manière précise en évitant les phénomènes de récupération. C'est ce qu'on essaie de faire dans le livre.

Vous abordez dans le livre la question du "syndrome du survivant", or il semble que dans votre cas, il ait été décuplé par votre statut et votre célébrité. Vous sentiez-vous coupable de cela aussi ?
Évidemment, parce que la célébrité amplifie le phénomène. Je fais un métier qui me plaît, à travers lequel je m'épanouis. C'est assez rare de faire un métier comme cela qui en plus fédère l'attention des gens, l'aspect médiatique qui a fait la fierté des miens. Mais en face il y avait le regard de mon frère qui lui continuait de stagner dans sa vie d'homme, parce que c'est ce que cette maladie engendre. C'est quelque chose de très injuste et qui décuple forcément ce "syndrome du survivant".

Vous aviez l'impression que le fait d'attirer la lumière à vous, poussait Thibault davantage dans l'ombre ?
Oui, en tout cas dans la sphère familiale parce que c'est là que ça se passe. C'était déjà compliqué à l'époque de voir les gens de ma famille regarder mon frère d'un œil inquiet. Et d'un coup, j'accaparais l'attention. Il y a eu beaucoup de moments alors où j'aurais voulu avoir une vie normale et pouvoir l'aider du mieux que je pouvais. Mais mon travail faisait que j'étais toujours absent, lui ne me voyait qu'à travers le filtre des médias. On avait une relation par procuration et ça m'était très pénible parce que je le savais en souffrance. J'avais l'impression de le laisser tomber.

Il y a dans le livre un passage très touchant et même assez drôle : celui où vous évoquez Thibault débriefant votre prestation dans le film Carbone d'Olivier Marchal d'une manière très critique et sans prendre de gants. Ce genre de situation a-t-il eu un effet de balancier pour vous ramener sur terre ?
Complètement. Mais ça n'est pas qu'un trait de caractère de mon frère, c'est de famille, ma mère est comme ça aussi. Je sais que si je prends le melon, ils vont tout de suite me faire redescendre. Le fait de le savoir est peut-être ce qui m'évite de tomber dans ce travers. C'est vrai que Thibault a toujours été très critique avec moi : il n'aimait pas la musique qu'on faisait avec Orelsan, il trouvait ça commercial, formaté, trop marketé. Ça manquait d'authenticité pour sa sensibilité. Sur Carbone, il a en effet été très cinglant mais il avait pris de la coke quelques jours avant et était encore en descente, en plus de son regard singulier qu'il a du mal à m'expliquer aujourd'hui. Quand il me voit dans un film, il ne se concentre que sur moi, il ne voit rien d'autre. Et ça crée des situations très drôles parce qu'il dit les choses très frontalement.

Vous parlez aussi beaucoup de vos différences, de vos caractères opposés dès l'enfance, mais une chose semble vous unir. C'est le socle culturel que vous avez en commun, votre amour du cinéma notamment. Avez-vous trouvé-là le moyen de maintenir un lien à travers cette passion, de l'ordre d'une médiation ?
Ça a été un biais pour lui comme pour moi. Ensemble ou séparément, c'est une échappatoire mais pas que. C'est aussi un amour des réalisateurs, des comédiens, des comédiennes. Thibault a comme ça des obsessions comme le néo-réalisme italien. Des choses très pointues, il est très renseigné et c'est quelque chose qu'il me transmet comme je lui communique par exemple mon amour du cinéma coréen.

Vous dites souvent l'importance de l'écriture dans votre équilibre. Au-delà du témoignage, du récit, nourrissiez-vous pour ce livre quelque ambition littéraire ?
Oui, il y avait une envie de se confronter à ça. Il y a quelque chose de l'ordre de l'ego qui veut se mesurer à ce qu'on a l'habitude de lire, que l'on aime, savoir si on est capable d'en faire autant. Mais c'est aussi une façon de dépasser l'aspect purement médical de cette histoire. Il y a tout ça mais dilué dans un geste artistique. C'est aussi ce qui a déclenché l'envie, au-delà de vouloir écrire sur la schizophrénie.

Pour vous, le livre a-t-il un pouvoir que n'ont pas les chansons ?
Oui, j'y ai trouvé un sentiment de liberté que je n'avais pas dans la musique. Il y a tout un espace d'expression, de découverte, que je n'ai pas trouvé ailleurs. J'avais cinq mois pour écrire le livre, ce qui est un pari risqué parce que je ne suis pas quelqu'un de très synthétique et que j'aime prendre mon temps (rires). Mais le plaisir qu'a déclenché cette expérience d'écriture m'a permis de tenir ce pari.

Cette expérience va-t-elle vous conduire à aborder différemment l'écriture de chansons ?
Complètement. Et pas seulement l'écriture des textes, mais la manière de composer. Je veux me débarrasser du rap qui me colle à la peau. J'aimerais aller vers quelque chose de plus musical et sortir des réflexes rap, d'une écriture très orale. J'aime beaucoup par exemple la manière dont un Mathias Malzieu [chanteur de Dionysos, également écrivain et réalisateur, NdlR] décline son univers sur différents supports.

Vous évoquiez dans une interview le décalage temporel qui se joue toujours entre ce que vous vivez et ce que vous racontez dans vos disques ou dans le film Comment c'est loin avec Orelsan, en disant notamment que vous racontez une vie qui n'est déjà plus la vôtre.
J'ai du mal à écrire en temps réel sur les choses que je vis. Certains ont des antennes et arrivent très bien à choper ça. Moi, il me faut du temps pour parler des choses. Sur nos albums avec Orelsan, il était vraiment question d'un mode de vie révolu et le temps passé nous permettait de l'aborder avec plus de précision, un regard nostalgique aussi. Je ne sais pas si je serais capable de m'ancrer davantage dans le présent.

Pour revenir au livre, quel est le sens de son titre, Ensemble, on aboie en silence ?
La phrase, très métaphorique, clôt un fragment du livre écrit par mon frère sur sa relation avec son chien. Et je conclus en évoquant deux entités mutiques avec un caractère trempé qui se trouvent parfaitement et ça se résume par « quand c'est le bordel, on mange dans la même gamelle, et ensemble on aboie en silence ». C'est l'un de mes éditeurs qui m'a suggéré d'en faire le titre du livre et ça résume bien ma relation avec mon frère.

Pouvez-vous nous parler de ce texte très émouvant de Thibault qui clôt quasiment le livre ?
Je l'ai reçu comme un cadeau qui est arrivé en fin d'écriture. Je sais l'effort que ça a dû lui demander. Pas seulement un effort de cœur mais intellectuel qui dans son cas peut avoir des répercussions sur sa concentration, ses angoisses. Il se fait violence et quand il m'offre ce texte à la fin de l'écriture du livre, je le reçois comme une déclaration d'amour fraternel et comme un signe de son approbation, un remerciement pour ma patience. Et aussi une envie de s'impliquer. Ça faisait un moment que je lui demandais des précisions sur certaines choses, il m'envoyait des textos très évasifs et pas toujours exploitables. Je lui disais : « j'ai besoin que tu m'aides ». Ce n'est pas qu'il ne voulait pas mais il ne pouvait pas. Le fait de m'offrir ce texte était fort du point de vue symbolique et surtout très juste parce qu'arrivant à point nommé en fin de livre, comme une conclusion. C'est quelque chose que Thibault a vraiment flairé et tout est beau là-dedans.

Gringe, Ensemble, on aboie en silence (Harper Collins / Wagram Livres)
Au Mob Hotel le vendredi 30 octobre à 17h
Inscriptions ici

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