Sous la verrière de l'Opéra, perchée au-dessus de la ville, je suis invitée dans une autre réalité. La musique enivrante de Steve Reich, la puissante lumière et face à moi des danseurs qui ne semblent pas soumis à la pesanteur. Un flot continu de beauté. Je me régale et m'imprègne de cet atmosphère onirique. En rentrant chez moi, je tente de retranscrire ce voyage dans mon carnet. Adèle Massin
article partenaire