Le mot "opéra" est parfois, dans l’inconscient collectif, connoté de sérieux, de mondain. Pour ma part, il résonne en moi comme la quintessence d’un art noble et à la fois si simple. C’est une opportunité rare que je reçois aujourd’hui : pouvoir rencontrer les danseurs du ballet qui y résident. Je pose pour la première fois le pied dans l’enceinte de l’Opéra de Lyon, c’est peut-être même la première fois que j’ose monter ses marches. Lors de ces répétitions, je découvre l’humour et la bonne humeur, la conviction et la passion de ces hommes et femmes qui gravitent dans ce monde qu’est le Ballet de l’Opéra de Lyon. Ronan Siri
Un technicien en pleine vérification de la salle de répétition, se situant à vingt mètres sous terre, avant l'arrivée des danseurs. Décors et costumes sont à portée de main.
Ces casques sont une infime partie des costumes que peuvent porter les danseurs lors de leurs spectacles. Ils sont également à disposition dans la salle de répétition et sont tous attitrés aux prénoms des danseurs.
La scène de l'Opéra fourmille de techniciens préparant décors et lumières.
Un danseur s'entraînant lors de la répétition des "longs bras" sous les yeux de la Brigade du ballet.
Les danseurs Tada, Julian et Raul révisant leurs pas avec concentration et précision pour la danse des " pink coqs", sous l'oeil attentif d'une des chorégraphes.
N'oublions pas que la musique va de pair avec la danse. Un piano à queue est présent dans chaque salle de répétition bien entendu !
Quand certains travaillent leurs pas de danse dans l'effort, d'autres se détendent dans la bonne humeur, en dansant.
Un danseur se servant du piano comme appuie pour échauffer ses chevilles, toujours dans la bonne humeur !
Tada, très attentif aux questions lors de la rencontre avec la Brigade du Ballet du Petit Bulletin.
Ashley effectuant avec grâce une danse inspirée des derviches, dans la salle de répétition sous l'Opéra.
