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ECRANS

De la nécessité des paillettes

Philippe Lioret, réalisateur exigeant de quelques-uns des plus beaux mélodrames français récents, il s’est emparé de la matière cinéma pour la plier à ce qui le touche, le remue, le choque. François Cau

ECRANS

De la nécessité des paillettes

Philippe Lioret, réalisateur exigeant de quelques-uns des plus beaux mélodrames français récents, il s’est emparé de la matière cinéma pour la plier à ce qui le touche, le remue, le choque. François Cau

De la nécessité des paillettes

par Christophe Chabert

Lundi 9 mars 2009
3576
LECTURES

par Christophe Chabert

Lundi 9 mars 2009
3576
LECTURES
graphie de Philippe Lioret, c’est une série disparate de souvenirs inoubliables de cinéma, à vous donner des envies de romantisme échevelé avec n’importe qui se trouvant à votre immédiate proximité. C’est la tendresse lunaire de Jean Rochefort dans Tombés du Ciel, son premier long-métrage qui évoquait déjà le destin incertain des clandestins en transit (la légende dit que Spielberg se serait inspiré du même fait divers dont fut tiré le film pour son Terminal – imprimons donc la légende). C’est le sourire radieux de Sandrine Bonnaire et le charme déconcertant de Jacques Gamblin dans Mademoiselle, l’air béat qu’on arbore en sortant du film. C’est l’émotion à fleur de peau de Mélanie Laurent et Kad Mérad dans Je vais bien, ne t’en fais pas, la tension émotionnelle renversante qui nous anime lors du climax final, pourtant filmé de la façon la plus anti-spectaculaire qui soit. Philippe Lioret, auteur total ayant à cœur de scénariser et cadrer ses réalisations, a acquis au fil du temps une maîtrise troublante de ses effets, à ce point qu’on pourrait presque le soupçonner de manipulation. Ce serait oublier que notre homme a compris ce qui faisait l’essentiel de la réussite d’un bon mélodrame : un attachement indéfectible à ses personnages, moteurs essentiels des récits sur lesquels il porte systématiquement des regards tendres, humains et généreux, sans jamais les juger, mais observant leurs failles avec une infinie délicatesse. Sauter le pas
Pourtant, pour Welcome, c’est un sujet de société qui a motivé Lioret : les conditions de vie des immigrés clandestins réfugiés à Calais, «qui est un peu notre frontière mexicaine à nous», «je trouvais que c’était un thème porteur d’une grande dramaturgie, qui pouvait donner naissance à un beau film». En phase de préparation, le réalisateur se rend donc sur place et se prend la réalité en pleine gueule. Les conditions de survie déplorables, les traques policières, la pression sur la population calaisienne souhaitant apporter secours aux clandestins, les numéros dessinés au marqueur sur leurs mains (dont le sinistre écho historique devrait résonner violemment à la vision du film…). Le réalisateur hésite face à cette misère humaine, semble renoncer à l’idée de l’exploiter sous forme de film commercial, mais finira par céder grâce aux encouragements des bénévoles calaisiens, qui ne souhaitent rien tant que cette réalité, abstraite et distante dans l’inconscient populaire français, soit connue de tous, dans toute sa redoutable absurdité. C’est dans les récits tragiques de ces mêmes bénévoles qu’il trouve la substance pour démarrer l’écriture de son histoire : celle d’un immigré parti traverser la Manche à la nage pour rallier l’Angleterre, cette «terre promise encore baignée de l’aura des fausses promesses de Margaret Thatcher sur la libéralisation du marché du travail». Les bénévoles sont toujours sans nouvelles de lui. Ne pas faire peur
Philippe Lioret crée un personnage à partir de cette histoire, lui accole une figure tutélaire se découvrant une humanité perdue en lui portant assistance. Leur relation et les desseins les animant empruntent aux dramaturgies usuelles du réalisateur, leur efficacité cinématographique est peut-être encore accrue. Mais le réalisateur n’en oublie pas pour autant sa toile de fond. Pour s’être confronté de près aux brutales réalités calaisiennes, son souhait de les retranscrire dans toute leur froide horreur demeure prégnant au fil de la conversation, ainsi que son incompréhension (pour rester poli) des politiques actuellement en vigueur en termes d’immigration. Au moment de clore l’entretien, Lioret se lève et ajoute un dernier mot. «Je dis que ce n’est pas un film politique, mais je ne parle que de ça finalement… J’ai fait ce film pour justement ne pas réaliser quelque chose de militant a priori, je voulais que ce soit romanesque. Il faut que je vous demande un service : essayez de mettre des paillettes, de ne pas rendre le film trop âpre, de ne pas faire peur. Parce que si ça fait peur, on l’aura fait pour rien et ça fera chier. J’ai envie que ça se diffuse au plus large pour que ça bruisse». La tirade a fait son effet et donc on le répète : qu’on le prenne sous l’angle politique ou romanesque, Welcome est avant tout un beau film !
graphie de Philippe Lioret, c’est une série disparate de souvenirs inoubliables de cinéma, à vous donner des envies de romantisme échevelé avec n’importe qui se trouvant à votre immédiate proximité. C’est la tendresse lunaire de Jean Rochefort dans Tombés du Ciel, son premier long-métrage qui évoquait déjà le destin incertain des clandestins en transit (la légende dit que Spielberg se serait inspiré du même fait divers dont fut tiré le film pour son Terminal – imprimons donc la légende). C’est le sourire radieux de Sandrine Bonnaire et le charme déconcertant de Jacques Gamblin dans Mademoiselle, l’air béat qu’on arbore en sortant du film. C’est l’émotion à fleur de peau de Mélanie Laurent et Kad Mérad dans Je vais bien, ne t’en fais pas, la tension émotionnelle renversante qui nous anime lors du climax final, pourtant filmé de la façon la plus anti-spectaculaire qui soit. Philippe Lioret, auteur total ayant à cœur de scénariser et cadrer ses réalisations, a acquis au fil du temps une maîtrise troublante de ses effets, à ce point qu’on pourrait presque le soupçonner de manipulation. Ce serait oublier que notre homme a compris ce qui faisait l’essentiel de la réussite d’un bon mélodrame : un attachement indéfectible à ses personnages, moteurs essentiels des récits sur lesquels il porte systématiquement des regards tendres, humains et généreux, sans jamais les juger, mais observant leurs failles avec une infinie délicatesse. Sauter le pas
Pourtant, pour Welcome, c’est un sujet de société qui a motivé Lioret : les conditions de vie des immigrés clandestins réfugiés à Calais, «qui est un peu notre frontière mexicaine à nous», «je trouvais que c’était un thème porteur d’une grande dramaturgie, qui pouvait donner naissance à un beau film». En phase de préparation, le réalisateur se rend donc sur place et se prend la réalité en pleine gueule. Les conditions de survie déplorables, les traques policières, la pression sur la population calaisienne souhaitant apporter secours aux clandestins, les numéros dessinés au marqueur sur leurs mains (dont le sinistre écho historique devrait résonner violemment à la vision du film…). Le réalisateur hésite face à cette misère humaine, semble renoncer à l’idée de l’exploiter sous forme de film commercial, mais finira par céder grâce aux encouragements des bénévoles calaisiens, qui ne souhaitent rien tant que cette réalité, abstraite et distante dans l’inconscient populaire français, soit connue de tous, dans toute sa redoutable absurdité. C’est dans les récits tragiques de ces mêmes bénévoles qu’il trouve la substance pour démarrer l’écriture de son histoire : celle d’un immigré parti traverser la Manche à la nage pour rallier l’Angleterre, cette «terre promise encore baignée de l’aura des fausses promesses de Margaret Thatcher sur la libéralisation du marché du travail». Les bénévoles sont toujours sans nouvelles de lui. Ne pas faire peur
Philippe Lioret crée un personnage à partir de cette histoire, lui accole une figure tutélaire se découvrant une humanité perdue en lui portant assistance. Leur relation et les desseins les animant empruntent aux dramaturgies usuelles du réalisateur, leur efficacité cinématographique est peut-être encore accrue. Mais le réalisateur n’en oublie pas pour autant sa toile de fond. Pour s’être confronté de près aux brutales réalités calaisiennes, son souhait de les retranscrire dans toute leur froide horreur demeure prégnant au fil de la conversation, ainsi que son incompréhension (pour rester poli) des politiques actuellement en vigueur en termes d’immigration. Au moment de clore l’entretien, Lioret se lève et ajoute un dernier mot. «Je dis que ce n’est pas un film politique, mais je ne parle que de ça finalement… J’ai fait ce film pour justement ne pas réaliser quelque chose de militant a priori, je voulais que ce soit romanesque. Il faut que je vous demande un service : essayez de mettre des paillettes, de ne pas rendre le film trop âpre, de ne pas faire peur. Parce que si ça fait peur, on l’aura fait pour rien et ça fera chier. J’ai envie que ça se diffuse au plus large pour que ça bruisse». La tirade a fait son effet et donc on le répète : qu’on le prenne sous l’angle politique ou romanesque, Welcome est avant tout un beau film !
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Welcome

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ECRANS par Christophe Chabert le Jeudi 5 mars 2009 | Une nouvelle fois, Philippe Lioret nous touche en plein cœur, à la grâce d’une foi cinématographique totale en son sujet. François Cau (...)

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ECRANS par Christophe Chabert le Jeudi 5 mars 2009 | Une nouvelle fois, Philippe Lioret nous touche en plein cœur, à la grâce d’une foi cinématographique totale en son sujet. François Cau (...)

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Sous les étoiles de Paris

De Claus Drexel (Fr, 1h30) avec Catherine Frot, Mahamadou Yaffa, Jean-Henri Compère

Depuis de nombreuses années, Christine vit sous un pont, isolée de toute famille et amis. Par une nuit comme il n’en existe que dans les contes, un jeune garçon de 8 ans fait irruption devant son abri. Suli ne parle pas français, il est perdu, séparé de sa mère… Ensemble, ils partent à sa recherche. A travers les rues de Paris, Christine et Suli vont apprendre à se connaître et à s’apprivoiser. Et Christine à retrouver une humanité qu’elle croyait disparue.

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Edité à 45 000 exemplaires à Lyon le Petit Bulletin est distribué gratuitement et en libre service tous les mercredis dans plus de 1 000 points.
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