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Musée des Tissus

Vivienne Westwood, pirate for ever

Née par le punk, Vivienne Westwood n’est pas à une contradiction près. Passé le DIY avec épingles et latex, le Musée des Tissus démontre, à travers plus de 200 pièces, que la Britannique est avant tout une dessinatrice et une historienne du costume.

Musée des Tissus

Vivienne Westwood, pirate for ever

Née par le punk, Vivienne Westwood n’est pas à une contradiction près. Passé le DIY avec épingles et latex, le Musée des Tissus démontre, à travers plus de 200 pièces, que la Britannique est avant tout une dessinatrice et une historienne du costume.

Vivienne Westwood, pirate for ever

par Nadja Pobel

Mardi 8 septembre 2020
319
LECTURES

par Nadja Pobel

Mardi 8 septembre 2020
319
LECTURES

Il était une fois une Anglaise sur son continent. Miss Swire voit le jour en 1941, dans le Derbyshire et grandit en banlieue londonienne avec sa modeste famille. Instit’, elle épouse — pour peu de temps— Mister Westwood puis rencontre en 1965 Malcolm McLaren. L’aventure sur King’s Road commence. Reset.

Elle reprend sa vie à zéro. Voici qu’en bonne enfant de la guerre, elle rafistole, customise, dissèque tee-shirt, maille, symbole — y compris une croix gammée pour affirmer son refus des valeurs dominantes et des tabous. En deux vitrines (sur une quinzaine), voici cette histoire du punk soldée. Car Vivienne Westwood ne peut se résumer à cette époque qui pour elle prend fin au début des années 80 quand elle se sépare de son mentor et présente son premier défilé avec la collection Pirate.

Dans une scénographie sobre signée par des anciennes étudiantes de l’ENSATT et leur agence S-cédille, les pièces textiles de Lee Price, collectionneur, collaborateur et gardien du temple de Miss Westwood se déploient, because distanciation sociale — sur tout l’espace du rez-de-chaussée et non dans un recoin comme le précédent hit du Musée des Tissus, Yves Saint-Laurent. Mieux, elles se mêlent à des objets du lieu pour donner à voir ce qui est au cœur de cette exposition : les influences de la créatrice. « Quand vous regardez le passé en essayant de copier la technique, vous commencez à voir les standards de l’excellence » dit-elle. C’est ainsi que figure un livre ancien britannique détaillant toutes les coutures des robes grâce à de multiples dessins de patrons. Westwood en fait son miel. Elle ne cesse de dé-ajuster les anciens modèles comme les plis d’une robe à la française ou un corset à qui, avec ses compères Jean-Paul Gaultier, ou John Galliano, elle redonne vie, et les fait porter par-dessus les vêtements quand au XVIIIe siècle ils étaient cachés. Un exemplaire est exposé aux côtés de deux pièces du musée qui permettent de comprendre sa démarche : une robe XVIIIe et les motifs de marqueterie Boulle du nom de cet ébéniste de Louis XIV. De l’un, elle garde les formes, de l’autre, elle fait broder les motifs.

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Ainsi qu’en attestent des vidéos diffusées ici, elle aime la technique de cet artisanat qu’elle enseigne même dans des écoles à Berlin et Vienne. Cet art du détournement, qu’elle a défloré avec le punk, elle le poursuit donc à l’intention d’une clientèle beaucoup plus fortunée. Mais le fond de sa démarche reste identique comme elle le démontre avec des tissus traditionnels de son île. Le tartan des kilts devient des vestes à pourpoint, dans le tweed, elle découpe des épaules de nageur olympique. La France sera aussi un vivier de son inspiration puisque, dans les motifs de la toile de Jouy, elle coud des robes de servante et elle fait imprimer les motifs des roses de l’aquarelliste belge Redouté sur soie pour une robe de soirée.

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Contestataire et nihiliste, Westwood a tôt été du côté des oubliés de la société britannique mais elle se fait rattraper (malgré elle ?) par la high society qui l’adoube, allant même jusqu’à lui faire prendre, en une du magazine aristocrate Tatler en 1989, les traits de Margaret Thatcher et la pose dans un tailleur Acquascutum que l’affreuse Dame de Fer (dont France Culture a si brillamment et longuement parlé cet été — podcast indispensable) avait refusé. La rédactrice en chef sera limogée mais les liens sont troubles avec cette frange de la population. Jonglant avec le marketing intensif qu’elle manie depuis ses débuts, elle a cédé des franchises à Vans, Swatch, Wolford... Depuis le tournant du 21e siècle, elle s’affiche proche du Green Party, sensible aux dérives du climat et dénonçant la financiarisation tout en ayant, selon le Telegraph en 2015, une holding domiciliée au Luxembourg. Revenant aux vêtements unisexes de ses débuts, tagués de références aux activistes que sont Julian Assange ou Chelsea Manning, elle se veut décroissante désormais : « achetez moins » mais « choisissez bien »  dit son slogan ! Pirate for ever.

Vivienne Westwood. Art, mode et subversion
Au Musée des Tissus jusqu’au dimanche 17 janvier

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Dans une scénographie sobre signée par des anciennes étudiantes de l’ENSATT et leur agence S-cédille, les pièces textiles de Lee Price, collectionneur, collaborateur et gardien du temple de Miss Westwood se déploient, because distanciation sociale — sur tout l’espace du rez-de-chaussée et non dans un recoin comme le précédent hit du Musée des Tissus, Yves Saint-Laurent. Mieux, elles se mêlent à des objets du lieu pour donner à voir ce qui est au cœur de cette exposition : les influences de la créatrice. « Quand vous regardez le passé en essayant de copier la technique, vous commencez à voir les standards de l’excellence » dit-elle. C’est ainsi que figure un livre ancien britannique détaillant toutes les coutures des robes grâce à de multiples dessins de patrons. Westwood en fait son miel. Elle ne cesse de dé-ajuster les anciens modèles comme les plis d’une robe à la française ou un corset à qui, avec ses compères Jean-Paul Gaultier, ou John Galliano, elle redonne vie, et les fait porter par-dessus les vêtements quand au XVIIIe siècle ils étaient cachés. Un exemplaire est exposé aux côtés de deux pièces du musée qui permettent de comprendre sa démarche : une robe XVIIIe et les motifs de marqueterie Boulle du nom de cet ébéniste de Louis XIV. De l’un, elle garde les formes, de l’autre, elle fait broder les motifs.

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Contestataire et nihiliste, Westwood a tôt été du côté des oubliés de la société britannique mais elle se fait rattraper (malgré elle ?) par la high society qui l’adoube, allant même jusqu’à lui faire prendre, en une du magazine aristocrate Tatler en 1989, les traits de Margaret Thatcher et la pose dans un tailleur Acquascutum que l’affreuse Dame de Fer (dont France Culture a si brillamment et longuement parlé cet été — podcast indispensable) avait refusé. La rédactrice en chef sera limogée mais les liens sont troubles avec cette frange de la population. Jonglant avec le marketing intensif qu’elle manie depuis ses débuts, elle a cédé des franchises à Vans, Swatch, Wolford... Depuis le tournant du 21e siècle, elle s’affiche proche du Green Party, sensible aux dérives du climat et dénonçant la financiarisation tout en ayant, selon le Telegraph en 2015, une holding domiciliée au Luxembourg. Revenant aux vêtements unisexes de ses débuts, tagués de références aux activistes que sont Julian Assange ou Chelsea Manning, elle se veut décroissante désormais : « achetez moins » mais « choisissez bien »  dit son slogan ! Pirate for ever.

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Vivienne Westwood. Art, mode et subversion
Au Musée des Tissus jusqu’au dimanche 17 janvier

Crédit Photo : © Guy Marineau


Vivienne Westwood. Art, mode et subversion

Musée des Tissus et des Arts Décoratifs 34 rue de la Charité Lyon 2e

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