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Théâtre

Les 30 saisons du Théâtre de l'Iris

Sans paillette, le Théâtre de l'Iris fête néanmoins ses trente ans d'existence tout au long de la saison avec reprises-phares et créations clin d’œil. Rencontre avec son directeur-fondateur Philippe Clément.

Théâtre

Les 30 saisons du Théâtre de l'Iris

Sans paillette, le Théâtre de l'Iris fête néanmoins ses trente ans d'existence tout au long de la saison avec reprises-phares et créations clin d’œil. Rencontre avec son directeur-fondateur Philippe Clément.

Les 30 saisons du Théâtre de l'Iris

par Nadja Pobel

Mardi 30 octobre 2018
3458
LECTURES

par Nadja Pobel

Mardi 30 octobre 2018
3458
LECTURES

Avec quelles intentions arrivez-vous dans ce lieu en 1988 ?
Philippe Clément : Le lieu est un pur hasard. Je faisais alors un petit break dans ma carrière d'acteur et metteur en scène, après des années passées aux côtés de descendants de Jacques Copeau qui travaillaient sur l’éducation populaire, puis auprès de Marcel Maréchal notamment. J'ai ensuite fait des études de médecine chinoise, puis repris le théâtre et j'ai monté une compagnie. Nous voulions une salle pour répéter. On a fini par trouver cet ancien cinéma de quartier (près du métro Cusset) dont je suis tombé amoureux. Et on a décidé de faire de la programmation en plus de présenter nos spectacles.

Comment s'est construite votre histoire avec les spectateurs ?
Elle est liée à la permanence du spectacle et du lieu et au fait qu'on a choisi un chemin peu à la mode à l'époque et qui ne l'est toujours pas : on est un des rares endroits en France habité par une compagnie qui ait une troupe permanente. De plus, nous avons un répertoire qu'on tourne, qu'on reprend dont Les Fourberies de Scapin qu'on joue depuis trente ans.

Vous montez Pierre Notte (Les Couteaux dans le dos en janvier), reprenez Ivan Viripaev (Les Enivrés). D'où vient cet attachement aux auteurs contemporains ?
Au début, on nous a collé injustement une étiquette de classique,  car ces pièces étaient celles qui marchaient le plus, mais on a toujours monté des auteurs contemporains depuis le début comme Duras. On a aussi fait beaucoup d'écritures de plateau en travaillant avec les acteurs sur l'improvisation (une adaptation du Brave soldat Chveik, un autre sur l'art brut (Le Loup dans mon œil gauche). On aime varier les genres.

Comment vous sentez-vous soutenu par les tutelles, la Ville très essentiellement ?
On est financé un peu par la DRAC mais elle a a malheureusement réduit ses financements sur les écoles - pas spécialement sur la nôtre, je trouve ça catastrophique. On est aussi très légèrement soutenu par la Région, mais c'est essentiellement la Ville qui nous soutient et qui nous a notamment sauvé la vie en 2011 lorsqu'elle a racheté lé théâtre dont le propriétaire ne voulait pas prolonger le bail. On se sent très soutenu : la Ville a toujours été très attentive à notre aventure, à la transmission. Et l'école s'est développée aussi avec le partenariat très important qui existe avec l'ENM de Villeurbanne ; la section arts dramatiques est gérée par nos deux structures, un tandem un peu unique en France.

Les financements publics représentent seulement 36% de notre budget ; le reste est de l'auto-financement. Ça nous oblige à des emplois du temps infernaux, mais on essaye de survivre malgré tout.

Comment s'invente l'avenir ?
On est conventionné avec Villeurbanne et jusqu’à maintenant la Ville a fait l'effort de ne jamais baisser les subventions malgré les baisses de dotation de l'État. Mais on n'est jamais sûr de rien, surtout s'il y avait un changement d'équipe municipale !

Sinon, nous faisons un travail au jour le jour dans des saisons bordées par trois événements : le festival Turbulences qui accueille les travaux des diplômés des Conservatoires de France, le mois d'utilité publique en mars avec cette année un axe sur la démocratie, la double appartenance à des cultures (les Conférences gesticulées de Franck Lepage) et le festival Brut de Fabrique. Et on essaye d’accueillir des compagnes régionales, car il y a un fort besoin. Il y a aujourd'hui en France un clivage tellement énorme entre les institutions avec un grand I qui tournent complètement en vase clos en s'échangeant des spectacles et le reste du théâtre plus ou moins soutenu. Des équipes, qui ne sont plus forcément jeunes, réclament à être traitées comme l'émergence, qu'on puisse les découvrir alors qu'elles font comme nous des spectacles depuis trente ou quarante ans.

Y'a-t-il un événement pour vos trente ans ?
On fait des reprises de spectacles de notre histoire et puis La Scène aux trousses (du 7 au 13 février) par deux compagnons qui n'ont jamais strictement fait partie de la troupe mais sont très proches. Ils partent de l'idée qu'ils vont parler du Théâtre de l'Iris et refont une sorte d'histoire du théâtre.

Vous posez dans votre édito de saison la question de savoir si cette aventure de trente ans tient du miracle ou du mirage. Avez-vous la réponse ?
Miracle et mirage se confondent pour moi. C'est une série d'apparitions de choses très belles qu'on désire et, en même temps, c'est l'évanescence de ce métier. On n'est pas comme les peintres, notre œuvre est vouée à disparaître. C'est la grandeur et la tristesse de ce métier. C'est frustrant mais ça pousse à aller de l'avant.

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Philippe Clément : Le lieu est un pur hasard. Je faisais alors un petit break dans ma carrière d'acteur et metteur en scène, après des années passées aux côtés de descendants de Jacques Copeau qui travaillaient sur l’éducation populaire, puis auprès de Marcel Maréchal notamment. J'ai ensuite fait des études de médecine chinoise, puis repris le théâtre et j'ai monté une compagnie. Nous voulions une salle pour répéter. On a fini par trouver cet ancien cinéma de quartier (près du métro Cusset) dont je suis tombé amoureux. Et on a décidé de faire de la programmation en plus de présenter nos spectacles.

Comment s'est construite votre histoire avec les spectateurs ?
Elle est liée à la permanence du spectacle et du lieu et au fait qu'on a choisi un chemin peu à la mode à l'époque et qui ne l'est toujours pas : on est un des rares endroits en France habité par une compagnie qui ait une troupe permanente. De plus, nous avons un répertoire qu'on tourne, qu'on reprend dont Les Fourberies de Scapin qu'on joue depuis trente ans.

Vous montez Pierre Notte (Les Couteaux dans le dos en janvier), reprenez Ivan Viripaev (Les Enivrés). D'où vient cet attachement aux auteurs contemporains ?
Au début, on nous a collé injustement une étiquette de classique,  car ces pièces étaient celles qui marchaient le plus, mais on a toujours monté des auteurs contemporains depuis le début comme Duras. On a aussi fait beaucoup d'écritures de plateau en travaillant avec les acteurs sur l'improvisation (une adaptation du Brave soldat Chveik, un autre sur l'art brut (Le Loup dans mon œil gauche). On aime varier les genres.

Comment vous sentez-vous soutenu par les tutelles, la Ville très essentiellement ?
On est financé un peu par la DRAC mais elle a a malheureusement réduit ses financements sur les écoles - pas spécialement sur la nôtre, je trouve ça catastrophique. On est aussi très légèrement soutenu par la Région, mais c'est essentiellement la Ville qui nous soutient et qui nous a notamment sauvé la vie en 2011 lorsqu'elle a racheté lé théâtre dont le propriétaire ne voulait pas prolonger le bail. On se sent très soutenu : la Ville a toujours été très attentive à notre aventure, à la transmission. Et l'école s'est développée aussi avec le partenariat très important qui existe avec l'ENM de Villeurbanne ; la section arts dramatiques est gérée par nos deux structures, un tandem un peu unique en France.

Les financements publics représentent seulement 36% de notre budget ; le reste est de l'auto-financement. Ça nous oblige à des emplois du temps infernaux, mais on essaye de survivre malgré tout.

Comment s'invente l'avenir ?
On est conventionné avec Villeurbanne et jusqu’à maintenant la Ville a fait l'effort de ne jamais baisser les subventions malgré les baisses de dotation de l'État. Mais on n'est jamais sûr de rien, surtout s'il y avait un changement d'équipe municipale !

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Crédit Photo : © Antoine Pulia

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