Mardi 14 juin 2011 | ROCK | À Lyon, si on se livre à un rapide sondage, on vous répondra qu'il y a l'andouillette, l'OL, ce bouchon sous Fourvière qu'on n'arrive pas à faire (...)
Toutes les occasions sont bonnes, et toutes les marques sur le calendrier avec, pour fêter les grands emblèmes du patrimoine lyonnais. Ne le sachant que trop bien, Le Voyage de Noz, après un DVD live enregistré au Rail-Théâtre en 2007, pour ses vingt ans, annonce un nouvel album – le premier depuis 2010 et baptisé Le début-la fin-le début – pour fêter la trentième bougie d'une figure du rock lyonnais élue en 1998 meilleur groupe local par Lyon Capitale.
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Si le line-up a pu changer en trente ans, Noz est toujours mené par le Bono lyonnais Stéphane Pétrier et n'a jamais vraiment disparu des radars. Ou en tout cas du cœur de fans imprégnés d'hymnes telles que Marianne Couche (rock engagé contre le FN, de saison donc), Cheval Punk (évoquant pêle-mêle, Sid Vicious, Lennon, Dylan, et le fait de tourner vers le ciel son anus artificiel (sic) loin des crinières baba-cool), Je suis Dieu, L'Homme le plus heureux du monde ou... l'hymne officiel de l'OL.
Un concert au Transbo avait déjà ouvert le bal de ce trentenaire. Quelques mois plus tard, le groupe s'offre à son public pas moins de deux soirs de suite au Radiant-Bellevue, les 3 et 4 mai.
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