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Festival d'Avignon

Olivier Maurin : « nous voulions faire Avignon dans la bonne humeur »

Rencontre avec Olivier Maurin : le brillant metteur en scène d' "Illusions" d'Ivan Viripaev est au Festival d'Avignon pour la première fois.

Festival d'Avignon

Olivier Maurin : « nous voulions faire Avignon dans la bonne humeur »

Rencontre avec Olivier Maurin : le brillant metteur en scène d' "Illusions" d'Ivan Viripaev est au Festival d'Avignon pour la première fois.

Olivier Maurin : « nous voulions faire Avignon dans la bonne humeur »

par Nadja Pobel

Jeudi 12 juillet 2018
4028
LECTURES

par Nadja Pobel

Jeudi 12 juillet 2018
4028
LECTURES

C'est la première fois que vous venez ici. Qu'est-ce qui vous a poussé à franchir le pas ?
Olivier Maurin :
Les rencontres. Le fait que la directrice qui dirige le lieu est venue voir le spectacle quand nous le jouions au TNP en octobre dernier. Cela a ouvert des portes. Ça me semblait être le spectacle possible. Ça semblait aussi financièrement être le moment de le faire, ce qui n'était pas le cas les années précédentes. On pouvait économiser assez d'argent sur le reste de l'année pour pouvoir être ici et le faire dans des conditions correctes.

Quel est le montant de l'investissement ?
De 25 000 à 30 000€. La location de la salle est de 15 000€, auxquels il faut rajouter de quoi se loger, manger, payer l'équipe. Nous voulions le faire dans la bonne humeur, ne pas se dire qu'on mettrait la clé sous la porte si on n'avait pas de spectateurs payants.

Quelle image aviez-vous du off avant de venir ?
Ce qui est compliqué, c'est qu'il y a plein de off différents dans des théâtres très variés. On fait tous la même chose : on joue devant des gens ; et en même temps, on n'a pas tous les mêmes pratiques ou le même rapport au théâtre. Ça brouille un peu les cartes. Ici au 11 Gilgamesh c'est très clair et repéré. Mais je pensais avant que le off n'était pas pour moi car trop foisonnant.

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Festival d'Avignon le Mercredi 11 juillet 2018 | par Nadja Pobel


Je découvre avec bonheur que tracter est très agréable. Car ce n'est pas au sens de donner des tracts, mais d'aller voir les gens, parfois passer un quart d'heure avec eux : des spectateurs de théâtre hyper bienveillants. Les gens viennent pour ça ! 

Ils ont envie de voir du théâtre, de rencontrer des gens. Ils prennent le temps. Le matin,  je vois peut-être 25 personnes seulement. Mais hier, il y avait plus de 15 personnes à la représentation que j'avais vu le matin même ou la veille. Il y a ici des gens engagés pour tracter, mais nous on parle du spectacle, on raconte un peu le début puis après on parle d'autre chose : de notre envie d'être là ensemble. Le mot tractage n'est finalement pas le bon mot.

Quand ça se passe bien avec Illusions, ça fait une espèce de bonne vibration, les spectateurs nous disent que c'est une chance de nous avoir rencontré, ils nous disent merci, alors que le matin j'avais l'impression de les remercier de s'arrêter parmi les 1500 propositions, de prendre cinq à dix minutes avec moi pour m'écouter. C'est moi qui me sentais redevable. C'est un bon rapport.

Venir ici, c'est aussi continuer à faire vivre le spectacle. Est-il déjà plus vu qu'auparavant par des pros, alors que nous n'en sommes qu'au cinquième jour du festival ?
Ah oui ! On a déjà eu plus de dix professionnels en trois jours. Je pense qu'aujourd'hui, dans le foisonnement des propositions au cours de l'année, les pros n'ont plus le temps et plus les moyens de venir. Je ne suis pas du tout aigri avec ça. Les gens qui dirigent des lieux sont tellement pris, sollicités, pas que par les compagnies, mais aussi par l'ensemble des contraintes de gestion d'une maison, qu'ils n'ont plus le temps de traverser la France pour voir un spectacle. Ils vont voir des choses pour lesquelles ils ont déjà des intérêts.

Pourquoi dites-vous que c'est le bon moment pour amener ce spectacle ici ?
C'est un spectacle qui arrive à maturité de l'équipe. C'est le troisième ou quatrième qu'on fait ensemble et on l'a déjà beaucoup joué (NdlR, création en juin 2016, au Théâtre de l'Élysée à Lyon). Il peut y avoir des bonnes ou mauvaises représentations bien sûr, mais on est assez confiants, on l'aime ce spectacle. On est une équipe, heureuse d'être ensemble : il n'y a pas d'enjeux déplacés ici.

Quel premier bilan tirez-vous de cette nouvelle expérience ?
Je pensais que j'allais aller voir plein de choses, mais en fait je travaille beaucoup. J'irai voir des pièces plus tard. C'est un monde où on parle théâtre, mais où on parle beaucoup d'Avignon, de comment ça se passe. On ne parle pas vraiment théâtre H24 au sens artistique. On parle système théâtral H18, et le reste d'artistique, car on est happé par ce système.

Illusions
Au 11 Gilgamesh dans le cadre du Festival d'Avignon à 17h05

C'est la première fois que vous venez ici. Qu'est-ce qui vous a poussé à franchir le pas ?
Olivier Maurin :
Les rencontres. Le fait que la directrice qui dirige le lieu est venue voir le spectacle quand nous le jouions au TNP en octobre dernier. Cela a ouvert des portes. Ça me semblait être le spectacle possible. Ça semblait aussi financièrement être le moment de le faire, ce qui n'était pas le cas les années précédentes. On pouvait économiser assez d'argent sur le reste de l'année pour pouvoir être ici et le faire dans des conditions correctes.

Quel est le montant de l'investissement ?
De 25 000 à 30 000€. La location de la salle est de 15 000€, auxquels il faut rajouter de quoi se loger, manger, payer l'équipe. Nous voulions le faire dans la bonne humeur, ne pas se dire qu'on mettrait la clé sous la porte si on n'avait pas de spectateurs payants.

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Ce qui est compliqué, c'est qu'il y a plein de off différents dans des théâtres très variés. On fait tous la même chose : on joue devant des gens ; et en même temps, on n'a pas tous les mêmes pratiques ou le même rapport au théâtre. Ça brouille un peu les cartes. Ici au 11 Gilgamesh c'est très clair et repéré. Mais je pensais avant que le off n'était pas pour moi car trop foisonnant.

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Ils ont envie de voir du théâtre, de rencontrer des gens. Ils prennent le temps. Le matin,  je vois peut-être 25 personnes seulement. Mais hier, il y avait plus de 15 personnes à la représentation que j'avais vu le matin même ou la veille. Il y a ici des gens engagés pour tracter, mais nous on parle du spectacle, on raconte un peu le début puis après on parle d'autre chose : de notre envie d'être là ensemble. Le mot tractage n'est finalement pas le bon mot.

Quand ça se passe bien avec Illusions, ça fait une espèce de bonne vibration, les spectateurs nous disent que c'est une chance de nous avoir rencontré, ils nous disent merci, alors que le matin j'avais l'impression de les remercier de s'arrêter parmi les 1500 propositions, de prendre cinq à dix minutes avec moi pour m'écouter. C'est moi qui me sentais redevable. C'est un bon rapport.

Venir ici, c'est aussi continuer à faire vivre le spectacle. Est-il déjà plus vu qu'auparavant par des pros, alors que nous n'en sommes qu'au cinquième jour du festival ?
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Au 11 Gilgamesh dans le cadre du Festival d'Avignon à 17h05

Crédit Photo : Illusions © DR

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Sous les étoiles de Paris

De Claus Drexel (Fr, 1h30) avec Catherine Frot, Mahamadou Yaffa, Jean-Henri Compère

Depuis de nombreuses années, Christine vit sous un pont, isolée de toute famille et amis. Par une nuit comme il n’en existe que dans les contes, un jeune garçon de 8 ans fait irruption devant son abri. Suli ne parle pas français, il est perdu, séparé de sa mère… Ensemble, ils partent à sa recherche. A travers les rues de Paris, Christine et Suli vont apprendre à se connaître et à s’apprivoiser. Et Christine à retrouver une humanité qu’elle croyait disparue.

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