Carte blanche à l'humain
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Les arts de la rue occupent l'espace public depuis des temps immémoriaux. Des mystères médiévaux au théâtre de rue moderne, des bateleurs de fêtes foraines au nouveau cirque, le spectacle vivant n'a cessé d'évoluer tout en s'appuyant sur la tradition. Cette année encore, Interfolk s'ouvre aux cultures de tous les continents et met l'accent sur la notion d'ethnies, mais accomplit aussi un gros travail de recherche pour présenter des groupes très variés, porteurs de modernité pour éviter l'uniformité. "La brûlante Afrique" côtoie "la langoureuse Asie" représentée par la Malaisie avec un ensemble de percussions qui avait participé aux J.O. de Pékin et révèle le rapport fusionnel et religieux avec le tambour, instrument sacré de l'appel des esprits. Simple exemple parmi le foisonnement artistique d'une programmation élaborée avec le souci de la diversité et de la création.
En étendant les festivités au-delà du Puy, dans tout le département rural de la Haute-Loire, le festival touche une population parfois éloignée de toute pratique culturelle et dynamise ainsi une démocratisation culturelle en allant, avec 350 danseurs et musiciens vêtus de "costumes qui sont pour les yeux une ivresse", à la rencontre d'un public souvent isolé, voire délaissé. Autre innovation cette année : la soirée des handicapés. Interfolk permet de rencontrer des spectateurs qui, sans cette proximité, resteraient coupés de ces rencontres culturelles. L'aspiration du festival à toucher tout un chacun s'inscrit dans le respect d'un droit fondamental : celui d'accéder à l'art et à la culture, véritable ouverture vers les autres, ouverture à la tolérance, à la démocratie. Interfolk vous invite à la rencontre, à l'échange, au plaisir de la découverte pour que le temps d'une parenthèse enchantée, les tempêtes de la vie s'apaisent et que se lève l'arc-en-ciel qui habite au cœur de l'humain.
Festival Interfolk, du 17 au 23 juillet, dans toute la Haute-Loire
Les arts de la rue occupent l'espace public depuis des temps immémoriaux. Des mystères médiévaux au théâtre de rue moderne, des bateleurs de fêtes foraines au nouveau cirque, le spectacle vivant n'a cessé d'évoluer tout en s'appuyant sur la tradition. Cette année encore, Interfolk s'ouvre aux cultures de tous les continents et met l'accent sur la notion d'ethnies, mais accomplit aussi un gros travail de recherche pour présenter des groupes très variés, porteurs de modernité pour éviter l'uniformité. "La brûlante Afrique" côtoie "la langoureuse Asie" représentée par la Malaisie avec un ensemble de percussions qui avait participé aux J.O. de Pékin et révèle le rapport fusionnel et religieux avec le tambour, instrument sacré de l'appel des esprits. Simple exemple parmi le foisonnement artistique d'une programmation élaborée avec le souci de la diversité et de la création.
En étendant les festivités au-delà du Puy, dans tout le département rural de la Haute-Loire, le festival touche une population parfois éloignée de toute pratique culturelle et dynamise ainsi une démocratisation culturelle en allant, avec 350 danseurs et musiciens vêtus de "costumes qui sont pour les yeux une ivresse", à la rencontre d'un public souvent isolé, voire délaissé. Autre innovation cette année : la soirée des handicapés. Interfolk permet de rencontrer des spectateurs qui, sans cette proximité, resteraient coupés de ces rencontres culturelles. L'aspiration du festival à toucher tout un chacun s'inscrit dans le respect d'un droit fondamental : celui d'accéder à l'art et à la culture, véritable ouverture vers les autres, ouverture à la tolérance, à la démocratie. Interfolk vous invite à la rencontre, à l'échange, au plaisir de la découverte pour que le temps d'une parenthèse enchantée, les tempêtes de la vie s'apaisent et que se lève l'arc-en-ciel qui habite au cœur de l'humain.
Festival Interfolk, du 17 au 23 juillet, dans toute la Haute-Loire
Crédit Photo : La compagnie bolivienne Acuarela Boliviana © DR
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