Joyeuse apocalypse

Troisième édition ce samedi pour la gigantesque soirée Lost In Bass Hill, organisée au Fort de la Bastille par l’association Mus’Act. Ses particularités ? Une ampleur impressionnante (quatre scènes différentes, plus de cinquante artistes invités…), un travail de décoration à couper le souffle, d’innombrables performeurs et artistes de rue, et une orientation musicale essentiellement axée autour des styles musicaux qui firent les heures de gloire des raves, fêtes, teufs, et autres free parties dans les années 90 : hardtek, hardcore et tribe. Mais pourquoi y participer se demanderont les plus dubitatifs ? Les raisons sont multiples. Déjà parce que l’ouverture musicale de la soirée est plus large qu’il n’y paraît (drum’n’bass, dubstep, trance, électro, mais aussi concerts rock et reggae), et que l’ambiance des précédentes ambitions était à ce qu’on nous a rapporté extrêmement conviviale. Ensuite parce qu’il est toujours intéressant de voir comment les musiques qui nous faisaient vibrer quinze ans auparavant ont évolué avec le temps, et ce que sont devenues des idoles de l’époque comme Manu Le Malin ou The Speed Freak, présents en tête d’affiche. Enfin parce qu’on ne supportera jamais assez la jeunesse et les mouvances underground, même si on a pour notre part depuis longtemps tourné la page. Damien Grimbert

Lost in Bass Hill #3, samedi 28 avril à la Bastille.

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