Lundi 18 septembre 2023 C’est un phénomène que l’on observe de plus en plus dans le milieu électro : une rupture avec le modèle unique des soirées tardives. Aux open air qui proposent (...)
L'award de la polémique qui fait du bien à la presse locale : celle autour de l'Ampérage
C'est en avril dernier que tout a commencé. L'Ampérage, salle incontournable des nuits grenobloises située au bout du cours Berriat, se voyait contrainte par la préfecture d'arrêter d'organiser des soirées jusqu'à cinq heures du matin. Branle-bas de combat du côté des associations programmant dans le lieu, qui déplorent que l'on tue les cultures s'exprimant la nuit. « La législation n'est pas en accord avec la réalité des pratiques culturelles aujourd'hui. Ce n'est pas parce que l'on ferme à cinq heures du matin qu'on est forcément une discothèque » déplorait dans nos colonnes Thomas Antoine, président du Stud, l'association qui gère l'Ampérage. Un article qui a explosé nos compteurs de fréquentation du site, celui-ci circulant notamment de façon virale sur les réseaux sociaux (faut dire qu'on résumait plutôt bien la situation !). Comme tous ceux de nos confrères d'ailleurs, qui ont eux aussi suivi l'affaire de près. Moralité : dans la culture comme ailleurs, ce sont toujours les mauvaises nouvelles qui font recette (on peut également citer l'annulation du festival Rocktambule, la fermeture du Centre dramatique national des Alpes ou l'affaire autour de David Guetta). Pour info, on prépare un dossier sur les soirées à Grenoble dans notre premier numéro de janvier, mais sous un angle beaucoup plus positif. En espérant qu'il soit quand même lu !
L'award de la une la plus incomprise : le n° 888
Bon, visiblement, pas mal de personnes ont pris notre une sur la nuit des musées pour un appel à la consommation irraisonnée de cocaïne. C'est soit nous qui sommes trop naïfs, soit vous qui êtes un peu tordus. Soit les deux.
à lire aussi
vous serez sans doute intéressé par...
