Jeudi 3 février 2011 Une jeune danseuse introvertie cherche à se dépasser pour incarner le double rôle d’une nouvelle version du "Lac des cygnes". Sans jamais sortir d’un strict réalisme, Darren Aronofsky fait surgir le fantastique et le trouble sexuel dans un film...
Oh, une (mini) rétrospective Dario Argento jusqu'à début août au Club !
Par Vincent Raymond
Publié Lundi 25 juin 2018 - 2240 lectures
« Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle » sur la cuvette grenobloise en été, rien de tel qu’une bonne sueur froide. Nul besoin d’invoquer Baudelaire pour la prodiguer : il suffit de se rendre au Club puisque le cinéma grenoblois a la riche idée de programmer une rétrospective du "maître du giallo" Dario Argento.
Chaque semaine jusqu'au 7 août, un film du cinéaste italien sera ainsi projeté dans une copie restaurée, offrant au public de rafraîchissantes éclaboussures d’hémoglobine et des cris à lui glacer les entrailles. Premier service avec Les Frissons de l’angoisse (1975), puis L’Oiseau au plumage de cristal (1970, son premier cri), Le Chat à neuf queues (1971), Suspiria (1977), Phenomena (1985) et enfin Opera (1987). Avec tout ça, vous n’aurez plus chaud. Ni sommeil, d’ailleurs.