Andrés Marín : flamenco mon amour

L’Espagnol Andrés Marín est un grand nom du flamenco d’aujourd’hui que le Nouveau Théâtre Sainte-Marie-d’en-bas et son directeur Antonio Placer, lui aussi espagnol (et qui, au passage, sera sur la scène de la MC2 vendredi 25 janvier pour un grand concert dans lequel on croisera aussi Andrés Marín), accueilleront samedi 26 janvier pour une création spéciale – qui sera peut-être amenée à tourner ensuite, tout est encore flou.

Baptisé Bailo, ergo sum (traduisible en français par « Je danse, donc je suis »), ce solo « s’annonce comme une interrogation profonde de la danse d’Andrés Marín, de son rapport au flamenco – dedans/dehors –, de ses doutes » nous assure le programme. N’en sachant pas plus (il est arrivé à Grenoble en début de semaine), on ne peut en dire plus, si ce n’est qu’on s’attend à un grand moment au vu de la maîtrise des codes du flamenco et de la présence magnétique d’Andrés Marín.

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