Jean-Michel Asselin : « L'Everest aurait pu m'accorder le sommet ; il m'a accordé de vieillir »

Montagne / Personnalité bien connue du milieu de la montagne à Grenoble et au-delà, Jean-Michel Asselin publie chez Glénat "Une histoire de l’Everest", recueil d’histoires toutes plus incroyables les unes que les autres au sujet de ce mont mythique que lui-même a gravi à cinq reprises, sans jamais atteindre le sommet.

Pourquoi ce livre maintenant ?

C’est très simple : le 29 mai 2023, on célébre l’anniversaire de la première ascension de l'Everest, qui eut lieu le 29 mai 1953. C’est assez important, parce que cette vieille histoire des Britanniques a commencé en 1921 – ils avaient fait une petite guerre avec le Tibet et avaient pu effectuer plusieurs tentatives. En 24, il y a la tentative des deux fameux héros, Mallory et Irvine, disparus sans qu'on sache, aujourd'hui encore, s'ils sont allés ou non au sommet. Ça reste l’énigme alpinistique par excellence. On a retrouvé le corps de Mallory en 99, mais on n’a toujours pas retrouvé celui de Irvine. Pas de bol, c'est probablement lui qui détenait l'appareil photo…

En 53, quand les Anglais ont fait le sommet, ils n’avaient plus le droit d’échouer. Ils ont eu chaud aux fesses parce que les Suisses, en 1952, avaient failli l'atteindre et donc le leur voler. Les Anglais ont fait de cette ascension quelque chose de très spécial puisque le couronnement de la reine Élisabeth a eu lieu le 3 juin, et cette ascension victorieuse était une espèce de cadeau à la reine. Ça a vraiment été perçu comme ça, c’était la liesse dans les rues de Londres.  

Que représentait la conquête de l’Everest au niveau géopolitique ?

C’était une époque très nationaliste. On est après-guerre, donc les Nations se remettent d'un conflit sordide, et ont besoin de positif. La conquête des grands sommets, qui dépassent 8000 mètres, va être cette sorte d'exutoire nationaliste qui va permettre à chacun de planter son petit drapeau au sommet des montagnes.

Les Français vont ouvrir le bal en 1950 en gravissant l'Annapurna – un petit 8000, il fait 8091 mètres exactement. C’est une très belle histoire parce que Herzog et Lachenal, entourés d’une équipe formidable, vont atteindre le sommet dans des conditions… les Anglais diraient by fair means, c'est-à-dire par des moyens élégants ; ils n’ont pas d'oxygène, peu de sherpas… En France, c'est la belle histoire, qui va se terminer dans les drames avec les amputations de Herzog, Lachenal, etc.

Du coup les Anglais, en 53, vont parvenir au sommet de l’Everest, le toit du monde. Ils ont tout donné à cette montagne, y compris son nom.  

N’y a-t-il pas un débat, d’ailleurs, sur la dénomination britannique du sommet, alors que les Tibétains et Népalais l’appelaient autrement ?

Il y a le nom vernaculaire qui est Chomo Lungma pour les Tibétains. Les Népalais ont inventé le nom de Sagarmatha. Mais ça n'a pas eu le succès escompté, c'est-à-dire qu’aujourd'hui encore, les Népalais et les Tibétains emploient le mot Everest. C’est trop ancré. Et quand il s’agit de faire du business, ils disent « venez gravir l’Everest ».

Est-ce que l’ascension de l’Everest est un gros business ?

Oui, il y a un gros business autour de l'Everest – à l’échelle d’une nation, il ne faut pas exagérer. Mais comme c'est des pays où il y a beaucoup de corruption et tout ça, beaucoup se servent. Le ticket d’entrée pour l’Everest, c'est 10 000 $ par personne, juste pour l’accès. Ils ont délivré cette année presque 450 permis, avec à peu près huit personnes par permis ; ça fait quand même quelques milliers de dollars. Qui reviennent en théorie aux organismes chargés de la protection du parc national de l'Everest, mais une certaine partie doit migrer dans d’autres poches…

Ce permis est délivré sans aucune nécessité de compétence en montagne, ou de niveau sportif ?

Non, il faut juste payer. Tu peux demander un permis, mais surtout tu peux t'inscrire dans une agence qui va te vendre une prestation, à hauteur de 50 000 $ minimum. Ça reste très coûteux, et on ne compte pas l’avion pour aller à Katmandou, les équipements… C’est cher, mais curieusement ils arrivent toujours à trouver du monde. Donc soit des gens qui ont beaucoup de sous, soit des gens qui ont une immense soif de mettre l’Everest sur leur carte de visite.

L’attrait de l’Everest, c’est qu’il n’y a pas plus haut. Tu as fait ça, terminé, tu peux aller te coucher. Il y a plein de gens qui ne font que ça. Comme en France et en Europe, des tas de gens ne font que le Mont Blanc. Ce n’est pas l’alpinisme qui les intéresse

L’attraction que suscite l’Everest, ça vient uniquement du fait que c’est la plus haute du monde ? Est-ce que les récits de légendes, les morts, participent à cette fascination ?

C’est uniquement parce que c’est la plus haute montagne du monde. C’est un absolu. L’attrait de l’Everest, c’est qu’il n’y a pas plus haut. Tu as fait ça, terminé, tu peux aller te coucher. Il y a plein de gens qui ne font que ça. Comme en France et en Europe, des tas de gens ne font que le Mont Blanc. Ce n’est pas l’alpinisme qui les intéresse, c’est de cocher : j’ai fait le Mont Blanc.

L’effet Everest est un peu plus compliqué, un peu plus cher, mais ça marche. C'est pour ça qu'on y voit énormément d'Américains, beaucoup de people, des princesses saoudiennes… Il y en a une qui est arrivée au sommet. On ne peut jamais garantir le sommet, on ne peut jamais garantir que tu ne vas pas mourir. Mais avec un staff important, un sherpa devant et un sherpa derrière, beaucoup d’oxygène, de bonnes conditions météo… Tu as toutes tes chances, même si tu n’es pas un alpiniste aguerri.

On entend beaucoup parler des files d’attente pour gravir le Mont Blanc, ce n’est quand même pas la même chose sur l’Everest ?

Il y a des files d’attente similaires à l’Everest. Le gros problème, jusqu’ici, c’était la météo. Jusque dans les années 90, les créneaux météo pour l’ascension étaient extrêmement courts. Avec le changement climatique, les créneaux de beau temps s’allongent. Il y a aussi le fait que les sherpas qui s’occupent de l’équipement ont bien compris le système ; la montagne est équipée de A à Z. Dès la cascade de glace, il y a une corde fixe. Ce qui n’enlève pas la possibilité d’y rester, parce qu’un coup de mauvais temps, un truc qui tourne mal, et c’est vite la catastrophe. Ce qui explique des drames comme en 1996, où huit personnes y sont restées.

Comment vivent les Sherpas ?

Au départ, ils étaient les sbires de l’Everest. C’était les porteurs, les seconds couteaux. Ils faisaient le boulot, et la gloire appartenait aux summiters. Mais par un effet curieux de l’histoire, le premier summiter, c’est un sherpa. C’était pas mal que l’Everest accorde le sommet à un sherpa. Depuis les années 90, ils ont compris l’importance de ce qu’ils faisaient, ils ont développé leurs compétences techniques… Et aujourd’hui ils sont les maîtres du jeu et ont repris la main sur le business.

Et donc, vous-même y êtes allé plusieurs fois.

Cinq fois. Une fois sur le versant nord, et quatre fois sur le versant sud. Mais je ne suis jamais arrivé au sommet.

Comment ça s’est passé ?

[Soupir] J’étais vraiment à côté, à 50 mètres du sommet… On était partis un peu fleur au fusil, on n’avait pas de corde pour passer un obstacle qui s'appelle le ressaut Hillary, qui fait 12 mètres de haut. On était très chargés, donc on avait renoncé à la corde, en se disant qu’on nous en prêterait une. J’étais avec Bruno Gallet, un copain à moi, et un sherpa. On a attendu très longtemps que des copains espagnols, qui avaient une corde, arrivent. Et quand ils sont arrivés, il était trop tard pour nous. Il était 15h30, ça faisait presque trois heures qu'on était sans oxygène à 8800. On n’avait plus d’oxygène, on avait été trop rapides le matin. Bruno m’a dit : « J’ai une femme et deux enfants. » On commençait à être fatigués du fait du manque d’oxygène, on commençait à avoir très froid. Même en allant vite, il y a quand même 4 heures de redescente jusqu’au col sud. Donc voilà, on ne s’est pas sentis.

Est-ce une décision dure à prendre, si près du but, ou est-ce que ça s’impose ?

Franchement, ce n’était pas dur. Non, c’est après que c’est dur. De retour au camp de base, on se dit, j’aurais pu y aller, j’aurais pu forcer un peu. Sur le moment, ce n’est pas un problème. Mais après, on se refait le film, pendant des années…

Jean-Michel Asselin à 8760 m sur le sommet Sud de l'Everest © Jean-Michel Asselin
Jean-Michel Asselin à 8760 m sur le sommet Sud de l'Everest © Collection Jean-Michel Asselin

 

Et l’autre fois où vous avez fait demi-tour juste avant le sommet, que s’est-il passé ?

On avait des conditions météo très dures, le temps était exécrable avec beaucoup de vent. On était tout près du ressaut Hillary, et on a fait tomber une corniche et on a failli basculer tous les deux dans le vide. C’était un peu un coup de bol. On est restés assis dans la neige, avec le sherpa, qui m’a dit : « It’s time to go back. » Et j’étais content qu’il me dise ça. C’est un gars qui était très fort, il a fait dix fois le sommet. Il est mort la 11e fois.

À quel point est-ce difficile, sportivement et physiquement, de gravir l’Everest ?

On est en hypoxie constante, avec du manque d’oxygène, on a froid, sur le plan mental on n’est pas extrêmement vif… On a des hallucinations, on tourne au ralenti. En 1989, j’étais sans oxygène sur le versant nord. Je me rappelle que j’étais avec Bruno, je lui tends mon appareil photo. Et je ne comprends pas pourquoi il ne le prend pas, je lui gueule presque dessus ; je ne réalisais pas qu’il était dix mètres en dessous de moi. J’avais un petit trouble cognitif…

Ce genre de sensation, ça ne freine pas l’envie d’y retourner ?

Au contraire, ça m’a motivé. J’étais assez bien en altitude. Je n'ai jamais vraiment trop souffert. C'est purement génétique, je ne peux pas m’en enorgueillir. Il y a des gens hyper forts en montagne, mais qui ne sont pas bons en altitude parce que leur corps s’adapte mal. Chez certains, le corps ne comprend pas la privation d’oxygène, la pression qui change… Chez d’autres, le corps comprend et met en branle plein de trucs pour s’adapter. Moi, je ne me sens pas bien vers 4500, mais après, ça ne me fait plus rien.

On a l’impression, à la lecture de votre livre, que des morts jonchent cette montagne… Vous-même, vous êtes tombé un matin sur un cadavre.

J’explique à un moment que la probabilité de mourir sur l’Everest est de 1% à 2% ; ce n’est pas énorme, mais on ne ferait jamais voler un avion de ligne avec une telle probabilité… Le cadavre, c’était Maurice Wilson. Je l’ai tout de suite identifié parce que je connais bien l’histoire de l’Everest, et qu’à cet endroit, il n’y a pas 36 000 mecs qui sont morts. Vu les habits… Ça ne pouvait être que lui, ce brave Wilson, mort en 1934.

Vous n’avez pas vu ça comme une sorte d’avertissement ?

Non parce que lui, il représente l'histoire, et il n’appartient plus à ce monde. C'est plus dur de voir quelqu'un qui est mort il y a 5 ou 6 ans en arrière. Ça vraiment c’est dur, quelqu’un qui a les mêmes chaussures, la même veste que toi… ça fait bizarre. Tandis que Wilson fait partie de l’histoire. C’est presque de l’archéologie ! Parmi tous les cadavres qu’on trouve, certains servent de bornes aujourd’hui. Il y en a un qui s’appelle green boots, parce qu’il a des chaussures vert fluo. Son corps est pris dans la glace, le malheureux. Et tout le monde sait que quand tu arrives à green boots, il te reste 2h ou 2h30 avant le sommet. Il sert de repère. Ça remue, mais ça se passe à 8400, les gens sont un peu scotchés, on n’a plus du tout la même perception.

Qu’est-ce qu’on ressent, sur cette montagne ? Est-on concentré uniquement sur l’effort ?

On est beaucoup concentré sur l’effort, mais on a des moments où c’est exceptionnel. C'est vraiment très beau. J’ai des souvenirs de levers de soleil, à 8500 mètres, à un endroit de l’Everest qui s’appelle le Balcony. Le jour se lève, le soleil éclaire tout ça, c’est splendide. On a le sentiment d’être privilégié. Et il ne faut pas rêver, on se sent un peu maître du monde, il y a le fantasme d’élévation…

Au final, je suis très redevable de cette montagne. Bon, elle aurait pu m’accorder le sommet, mais elle m’a accordé de vieillir.

De toutes les histoires que vous racontez dans le livre, y en a-t-il une qui vous a particulièrement marqué ?

J’aime beaucoup l’histoire de Wilson. Je le trouve représentatif de cette espèce de folie qui peut gagner les hommes. C'est un gars qui a tout fait, il a élevé des moutons en Nouvelle-Zélande, il a vendu des fringues à New York…  Il était riche, et c’était un homme à femmes, avec de nombreuses admiratrices. Mais il avait été gazé pendant la guerre de 14 et en gardait des séquelles. Dans les années 25-30, il était très malade, et a trouvé une sorte de gourou qui l’a incité à se soigner par le jeûne et la prière. Il était complètement emballé, et a voulu transmettre ça au monde entier. Pour ça, il s’est dit : « Je vais faire quelque chose que personne n’a encore fait, l’Everest. »

Donc il achète un avion et apprend à le piloter, en trois mois environ. Il n’a aucune autorisation pour voler, mais il part quand même de Londres pour Le Caire – c’est déjà un vol hallucinant, dans un coucou à 130 km/h… Je ne sais plus toutes les étapes, mais finalement il arrive en Inde et crashe l’avion dans une plantation. Là il lui faudra 3 semaines pour rejoindre le Tibet, dans la mousson… Il part clandestinement, en marchant de nuit… Finalement, Wilson part à l’assaut de l’Everest avec ses deux sherpas, mais ils ont très peu de nourriture, ils récupèrent les restes des expéditions précédentes. Et lui, il cherche les mégots, il fume énormément. À un moment, les sherpas le laissent continuer tout seul. Jusqu’au jour où il est dans sa tente, pas loin du col nord, très confiant. Il écrit dans son journal : « Je repars, journée magnifique ». Il ne repartira jamais.

Dans Une histoire de l'Everest, vous écrivez : « J’ai perdu un argent fou, je suis toujours vivant, je sais maintenant que je n’irai plus jamais là-haut. »

Voilà. Au final, je suis très redevable de cette montagne. Bon, elle aurait pu m’accorder le sommet, mais elle m’a accordé de vieillir. Je ne suis pas mort, et puis l’Everest a été une source d’inspiration pour écrire plusieurs romans qui se passent dans ses jupes, et ce livre.

Beaucoup d’autres auraient fait le sommet. Peut-être que je serais mort, mais peut-être pas. Je mourrai avec ce questionnement. Mais je ne penserai pas à ça, je penserai à toutes les belles choses que j’ai vues, sur l’Everest et ailleurs. 

Dans la préface, vous dites que l'Everest vous a pris beaucoup.

Il m’a beaucoup pris parce qu’à un moment, j’étais un peu obsédé par ça, j’étais un peu con… Je ne faisais plus que ça. Au lieu de m’occuper de ma vie, je m’occupais de l’Everest. J’y suis quand même allé en 89, 90, 91 et 92. Donc pour la famille, et au niveau financier… C’était un peu n’importe quoi. Il m’a fallu toutes ces années pour m’en rendre compte. Ce que j’ai vraiment accepté, c’est d’être un loser, par rapport au sommet. Si, si, un peu ! Beaucoup d’autres auraient fait le sommet. Peut-être que je serais mort, mais peut-être pas. Je mourrai avec ce questionnement. Mais je ne penserai pas à ça, je penserai à toutes les belles choses que j’ai vues, sur l’Everest et ailleurs. Dieu sait qu’il n’y a pas que l’Everest dans la vie. Mais à un moment, il n’y a eu que ça.

À quel moment vous avez pris la décision de ne plus y retourner ?

En 1992, j’avais fait le serment de ne plus y retourner. Perseverare diabolicum ! Mais en 2003, il y avait des circonstances, le cinquantenaire de la première ascension, j’ai rencontré des gens… J’ai accepté d’être chef d’expédition, mais c’était l’expédition de trop. C’est la première fois que quelqu’un est mort dans mon expédition, au camp de base. Si j’avais été seul, je serais reparti. Je me disais un peu « L’Everest me doit quelque chose », mais… Ce jeune homme est mort, ça a été très violent. Cette expédition… Bref, je ne veux pas trop en parler. Je n’aurais pas dû être là. J’y étais, j’assume, j’ai fait ce qu’il fallait. Au retour, vraiment, c’était fini. Mais pas dans la frustration. Je suis retourné pas mal de fois au camp de base, je suis ravi de voir l’Everest, d’être à son pied, de regarder les gens qui y vont, je suis ravi pour eux. Mais je ne ressens pas de désir. C’est derrière, c’est fini.

Une histoire de l'Everest de Jean-Michel Asselin, Glénat, 2023. Dédicace vendredi 9 juin à 18h30 au DS Store Grenoble (Eybens)

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