Valérie Donzelli, Virginie Efira & Melvil Poupaud :  « On a écrit le film comme un piège qui se referme »

L'amour et les fôrets
De Valérie Donzelli (Fr, 1h45) avec Virginie Efira, Melvil Poupaud, Dominique Reymond...

L’Amour et les Forêt / Adaptant Éric Reinhardt avec Audrey Diwan, Valérie Donzelli offre deux doubles rôles à ses comédiens Virginie Efira et Melvil Poupaud, dans un film sombre comme les forêts du Grand Est et cependant troué de (rares) clairières. Rencontre en marge du festival de Cannes, où le film est présenté en Première.

Aviez-vous été surprise qu’un homme ait pu écrire le roman dont vous vous êtes inspirée ?

Valérie Donzelli  : Peut-être un peu. En même temps, je connaissais Éric Reinhardt, sa sensibilité… Et puis, ce qui est intéressant dans le livre, c'est que c'est le récit d'une femme, quand même. D’une parole qui se libère et de quelqu'un qui écoute cette parole – un homme, d’ailleurs. J’ai beaucoup hésité au moment de l’écriture de mon film sur ce personnage pour savoir si c'était un homme ou une femme à qui elle devait parler, et j'ai quand même préféré que ce soit une femme. C’était juste par rapport à son vécu dans le film.

Virginie et Melvil, connaissiez-vous le livre ?

Virginie Efira : Oui, et j’avais déjà rencontré l’auteur. Quand j'ai rencontré Valérie la première fois autour de ce film-là, c'était bien avant qu'elle écrive le scénario. C'était au début du confinement ; j’étais déjà bien plombée par le confinement, j'ai lu en plus le livre de Reinhardt qui est hyper dur et à la suite de cela, je lui ai dit : « Ok, il y a quelque chose à faire. »

Melvil Poupaud : Moi, je n'avais pas lu le livre, j’ai découvert l'histoire par le scénario. J'avais envie de faire ce rôle passionnant et de retravailler avec Virginie, que j’aime beaucoup comme actrice, et aussi Valérie Donzelli que je connais depuis plus longtemps. Je l'aimais bien comme actrice et j'ai senti dès le début qu’elle était inspirée par son sujet, qu'elle avait des idées assez précises sur sa mise en scène et puis sur la direction d’acteur. Effectivement sur le tournage, j’ai vu son côté actrice qui prenait du plaisir : elle jouait tous les rôles ! Quand les metteurs en scène sont aussi acteurs, ils ont une façon de diriger qui est différente. Ils prennent votre place, ils ont des attitudes, ils ont des nouvelles idées… Là, j'ai senti qu'elle était vraiment très précise sur ce qu'elle voulait.

Valérie, comment avez-vous travaillé avec votre co-scénariste Audrey Diwan et quelles autres libertés par rapport au livre avez-vous prises ?

V.D : On a vraiment travaillé à quatre mains, dans un ping-pong permanent. Toutes les deux, on avait un vrai intérêt pour le livre : elle l’avait lu et quand je lui ai proposé de l’écrire ensemble, elle a m’a dit « banco, on y va ».

C’est une vraie adaptation, à la fois infidèle au livre et fidèle au ressenti qu'on a. J’avais voulu l’adapter pour plusieurs raisons. D'abord pour cette scène de mea culpa qui est dans le film, identique au livre : quand il [le personnage joué par Melvil Poupaud, ndlr] se rend compte en écoutant une émission radio sur des conjoints maltraitants qu’il ressemble aux personnes qui sont décrites. Il prend conscience de sa maladie, qu’il faut qu'il se fasse soigner mais il retourne la situation en se faisant passer pour la victime – ce qu’il est, puisqu’il est malade – et il la piège d’autant plus en lui disant : « On ne s’en sortira jamais si tu ne m’aides pas ». On a donc écrit le film comme un piège qui se referme, en racontant tous les mécanismes très invisibles de cette emprise. On a inventé tout ce qui n'est pas dans le livre : tout le début de leur rencontre, toute cette histoire qui s'écrit et se vit dans l’emportement, jusqu’à cette fameuse scène de mea culpa qui rejoint le livre. Et à partir de ce moment-là, on est plus que fidèle au livre.

Est-ce qu'un tel sujet nécessitait forcément d'être infidèle, c’est-à-dire de prendre une forme de liberté, de se détacher d’un cadre sclérosant, à l’image du personnage enfermé dans sa relation ?

V.D : Oui, je pense que c'était important de pouvoir se l'autoriser et j'avais l’autorisation d’Éric Reinhardt. Quand il a su que j’allais adapter le livre, il nous a fait vraiment confiance : « c’est TON histoire maintenant, tu en fais ce que TU VEUX. » L'autorisation de pouvoir être infidèle au livre est assez primordiale quand on adapte un livre au cinéma parce que ce n'est pas la même chose. D’ailleurs, le livre est beaucoup plus violent que mon film. Ce qui y est raconté, c'est vraiment très sordide ; certains moments sont insoutenables – ça passe en littérature, mais au cinéma, je suis pas sûre. Je ne veux pas faire un film qui soit une espèce de prise d’otage pour le spectateur. Je veux que le film puisse nous laisser respirer pour qu'on prenne conscience de ce qu’est l’emprise. Le film est dur, mais je crois que dosage fait qu'on arrive à le supporter. Et puis il se finit quand même vers une zone de libération, de lumière. Ça fait un bien fou de voir qu’elle s’en sort – et je crois à cette vertu-là, que l'on peut se sortir de toutes les situations.

Justement, vous écrivez particulièrement les lumières dans le film, entre le vert, le rouge ; par moment, la lumière vient aussi irradier l’image…

V.D. : Ça a été avec Laurent Tangy, le chef-opérateur. C’est la première fois que je travaille avec lui. Mais j'avais des visions, je voulais deux choses : que le film soit du point de vue de Blanche, que l’on soit vraiment dans sa tête, avec elle ; et qu'on ressente ce qu'elle ressent – donc que le film soit sensoriel, très expérimental dans son travail à la lumière. Je lui en ai donc beaucoup parlé : « Je voudrais qu'il y ait du bleu, du rouge, du vert, du jaune ; qu’on travaille avec des filtres ; que l’image soit floue ; qu’on déchire la pellicule… » Le film est aussi assez organique parce qu’il y a plusieurs matières : de la pellicule, du super-8, de la vidéo – mais c'est un peu tout le temps le cas dans mes films. Parce que j'aime bien réécrire après au montage avec la matière. Donc je fabrique de l’image ; je ne sais pas ce que je vais en faire, mais je sais que j'en ferai quelque chose. Et puis au montage, j'arrive à trouver l'endroit juste pour cette matière. Tous les effets dans le film ont été faits en direct : les plans verts ont été filmés avec un filtre vert. Je ne peux pas la rendre autrement. Les miroirs, les reflets, tout était fait sur le tournage. La seule chose qu'on a faite en post-production, c'est les contrastes : pour embellir le film. Mais l’image a toujours été là dès le début, dès les rushes.

Et pour les plans avec les jumelles ?

VD : C’était très simple aussi. Pour moi, ce n'était pas le sujet de faire un film sur la relation de la gémellité mais il fallait quand même raconter cette question-là. Parce que dans cette histoire de sœurs jumelles, le lien est indéfectible. Donc c’est l’ultime obstacle pour que Greg Lamoureux puisse l'arracher à sa sœur, qu’elle perdent le lien alors que dès le départ on voit qu’elle sont totalement fusionnelles. Et comme ce n’était pas un film sur la question de la gémellité, je ne voulais pas que ce soit une usine à gaz en termes de mise en scène, ni ridicule. Je n’ai pas cherché à les mettre dans le même plan. Je les ai vraiment filmées comme si c'était deux actrices. Si j’avais eu deux actrices, est-ce que j’aurais cherché à les mettre dans le même plan ? Pas forcément.

”Hello, Sidney” © 2023 RECTANGLE PRODUCTIONS - FRANCE 2 CINÉMA - LES FILMS DE FRANÇOISE

 

Chaque jumelle apparaît comme différente. Est-ce vous ou Virginie qui avez défini ainsi Blanche et Rose ?

V.D. : À l'écriture, on sentait les personnalités différentes des deux rôles. Après, c’est vraiment le travail de Virginie, je ne sais pas comment et je ne veux pas savoir, en fait. J’avais quand même un petit peu d’appréhension avec cette idée, même si j'en étais convaincue : c’est la chose que j'ai le plus remise en question pendant toute la préparation du film. Mais je me raccrochais à la force de son interprétation. On a commencé le tournage avec Rose, puis un petit truc avec Blanche et l’arrivée de Rose dans la maison dans l’Est. Quand j’ai vu Rose, j’ai tellement halluciné : j'avais l’impression d'avoir deux actrices. La comédienne que je suis était pétée de voir Virginie travailler. Je ne suis pas actrice comme eux. Je ne suis pas sûre d'être capable de faire ça. Après, j'aime jouer, parce que c'est un endroit d’expression qui est reposant : on s’exprime avec les mots des autres, on est porté par le regard de quelqu’un.

V.E. : Pour moi, il y a quelque chose de plus concret : dès le départ, Valérie parlait de gémellité, qui n’existe pas dans le livre. D’ailleurs, il y a des gens qui sont spécialistes de films de jumelles – comme d’autres qui aiment les films de nonnes. Alors pour moi, c’était marrant les jumelles, mais il fallait malgré tout que je joue deux personnes dans cette histoire. Il y avait deux possibilités, dont celle de ne pas donner trop d’importance en travaillant sur de très légères différences énergétiques. Il y avait chez Rose un concret, un imaginaire un peu plus réceptif, moins dans les absolus, moins dans la littérature qui faisait en sorte qu’elle aurait sans doute peut-être plus vite passé son tour. Alors que chez Blanche, même le fait que l'imaginaire soit parfois un peu choquant, ça vient animer l'idée chez elle qu’elle n’est pas assez valable – moi je la comprends très bien, Blanche. C’était intéressant de jouer sur deux natures que j’ai, en fait. C’est une question d’énergie mais il faut aussi que le spectateur ne soit pas en train de se dire : « Tiens, comment ils ont fait ? »

M.P : Dans la mise en scène c’est assez vite éludé, il n’y a pas d’effets spéciaux incroyables.

V.E. : Ce qui était intéressant avec Valérie, c'était de travailler non pas que sur la fragilité ou la vulnérabilité mais sa solidité. Il y a un endroit où il va la priver de son libre-arbitre, mais elle est aussi quelqu’un de solide : elle a un travail, elle est articulée, elle est aimée par sa mère, sa famille ; elle a une assise affective. Il met en place une structure pour arriver à déployer sa manipulation.

Melvil, vous interprétez également un rôle double. Comment l’avez-vous appréhendé ?

M.P : Moi j’avais davantage peur, bizarrement, du côté un peu prince charmant du début, où Valérie n'arrêtait pas de me booster comme un cheval de course : « Il faut que tu séduises, il faut que tu sois irrésistible ! » Heureusement, on a tourné ces scènes-là après le gros du film dans la maison. On a fini le tournage en Bretagne, un peu soulagés d'avoir fini ces scènes d'intensité maximale pour revenir à quelque chose de plus léger. Je pense qu'elle avait eu raison de le faire dans cet ordre-là, parce que même en essayant de faire le prince charmant, j'avais en moi ce personnage un peu monstrueux qui m'habitait et qui donne une ambiguïté au mec dès le début, même s'il est tout miel, s’il la cajole, s’il n'arrête pas de lui répéter qu'il l'aime, s’il fait des cadeaux… dans le fond, on sent qu'il y a quand même un trouble et quelque chose que sent sa sœur tout de suite et que, je pense, sent le spectateur aussi – sans savoir jusqu’où ça peut aller. Et puis, en vieillissant, je préfère maintenant jouer les rôles plus ambigus, plus complexes, que le côté séduisant et mignon.

On voit bien le trouble, en arrière-plan
© 2023 RECTANGLE PRODUCTIONS - FRANCE 2 CINÉMA - LES FILMS DE FRANÇOISE

Comment ressort-on d’une journée de travail où l’on est dans la tension permanente ?

V.E. : Le fait qu’on se connaisse, que j’aie beaucoup d’affection et de confiance pour Melvil ; que Valérie ait un enthousiasme très fort et joyeux, ça me permet d'aller en apnée vers les abysses profondes et de remonter à la surface. Et finalement, c'est pas tellement psychologique, presque de l'ordre du physique : on actionne quelque chose de l'ordre du corps et du physique. Même quand on dit « coupez ! », le corps a une mémoire propre, vraiment ! Je l’avais déjà repéré sur un film de Verhoeven : j’avais une scène de viol et quand elle se termine, je sens qu’il faut que je pleure et je me cache parce que je suis un peu gênée. Et je comprends plus tard que le corps a reçu une information, il a été violenté. Même si moi je sais que c'est une représentation, le corps a mis du temps. Il y a eu un choc, en fait. L’état, c’est pas en deux secondes et un « coupez ! » qu’on s’en défait. Mais ce qui est est génial, malgré tout, c’est qu’on se sert de tout – même du vécu personnel, même de la merde – pour bien entrer ; on se sert de tout pour sortir : le sourire de Melvil, le gâteau chocolat de Valérie, ma fille qui va débarquer…  Je n'ai pas besoin d'avoir la tête sous l'oreiller en permanence pendant le tournage.

M.P. : Valérie nous a poussés assez loin dans les scènes. Quand tu vas très loin, après tu as l'impression d'avoir terminé la séquence. Tu ne restes pas sur une frustration. Tu rentres chez toi, tu dis : « Ok, j'ai bien fait mon boulot, maintenant, je passe à autre chose, la prochaine séquence ou à une soirée ».

Le choix de Dominique Reymond, qui porte avec elle le film de Sandrine Veysset, et donc toute la violence qu’une femme peut subir dans un foyer, participe-t-il du non-dit qui traverse le film ?

V.D. : C’est marrant, j'ai pensé à Dominique Reymond, parce que j'aime énormément cette actrice, sa voix, que je savais qu'elle aurait cette capacité d’écoute et qu’on a Sandrine Veysset en commun. Mais j'avais oublié – non je n'avais pas oublié mais je n'avais pas pensé, c’est peut-être inconscient, à ce personnage magnifique de femme qu'elle joue dans Y aura-t-il de la neige à Noël ? où elle est la femme cachée, maltraitée par son mari qui lui fait plein d’enfants. C'est complètement inconscient !

Et pour Bertrand Belin ? Est-ce un hasard s’il ressemble à Éric Reinhardt ?

V.D. : C'est marrant, on me le dit souvent… C'est un hasard. Moi, je ne trouve pas qu’il lui ressemble spécialement. Bertrand Belin, je l'avais vu dans Tralala et puis je l'ai rencontré. Ce qui m'a plu chez lui, d'abord c'est son charisme : il dégage quelque chose d'assez unique, très différent de Melvil parce qu’il ne fallait pas que ce soit un pendant de Melvil. Il fallait une autre forme de beauté, une autre forme de charisme. Et puis ce qui m'a plu, c’est sa timidité. Ça, c'est quelque chose qu’il ne va pas fabriquer, qu’il aura forcément. Et je crois que les grands timides ne peuvent pas être foncièrement méchants.

Que vous apporte le fait d’aller à Cannes ?

V.D. : D'abord, c'est joyeux de montrer son film à Cannes. Maïwenn et moi, on a des histoires avec Cannes – d’ailleurs, on se retrouve toujours en même temps. Moi j’ai eu La Guerre est déclarée en 2011 ; tout le monde parlait du film alors qu'on était juste à l’ouverture d'Un certain regard ! Ce n'était pas du tout un film dont on aurait autant parlé d’ordinaire. Après j’ai eu Marguerite et Julien en compétition officielle où là, les gens n'avaient pas du tout compris le film – ça a été aussi un autre accueil. Ce n'est pas un mauvais souvenir, mais un accueil complètement différent. Tout aussi violent que quand ça me dépasse parce que c'est le succès. J’y suis allée souvent, à Cannes, et la première fois, enceinte, pour présenter Martha… Martha de Sandrine Veysset. C’était mon premier rôle de cinéma et ça faisait l'ouverture de la Quinzaine. Après, j’y suis retourné pour mon court-métrage Il fait beau dans la plus belle ville du monde qui a été sélectionné à Quinzaine des Réalisateurs. Après c’était La Guerre est déclarée. Ce sont des histoires différentes qui s’écrivent. Là, il n’y a pas trop de pression : je suis à Cannes Première, le film sort le même jour, c’est une très belle avant-première pour le film. Il va sortir dans une belle robe de soirée.

V.E. Qu’il soit à Un Certain regard, à Cannes Première ou autre, il y a telle une profusion de films que ça montre qu’il est remarqué pour du “cinéma“, un “regard“, une particularité, quelque chose, quand même ! Il y a de très bons films qui ne sont pas pris à Cannes, hein. Mais quand même, là, ça aurait été vraiment dommage, vu l’histoire que Valérie a avec Cannes, que son film ne soit pas vu alors qu’il y a vraiment ici un geste supérieur de réalisation.

M.P. : On profite de toute la promo, de l’engouement ; tout le monde s'obsède avec le cinéma. On fait Cannes, on monte les marches, on fait la promo et après, Valérie, elle peut passer à autre chose ou partir en vacances. Moi je suis très content à Cannes ; j'étais un petit peu déçu que le film ne soit pas en sélection officielle, mais bon… Le travail de sélectionneur à Cannes, c'est comme un ministre : il faut faire des choix très politiques, et en même temps respecter les uns, faire plaisir à tout le monde. Mais déjà être à Cannes est très important. Après, je trouve ça un peu bizarre, personnellement, que tout se concentre sur Cannes : ce n’est pas parce que ton film n’est pas à Cannes qu’il est moins bien que les autres. On voit des fois des films qui sortent en-dehors du circuit cannois qui rencontrent leur public et trois ans plus tard, on ne sait plus qui a eu la Palme d’Or alors qu’on se souvient de ce film-là qui n’avait pas été retenu…

Avez-vous déjà d’autres projets, Valérie ?

V.D.: Je suis en train de terminer un documentaire sur le Conservatoire d’art dramatique et la jeunesse. Ça s'appelle Rue du Conservatoire, j'en suis très fière. C’est presque une commande d’une élève, en fait. C’est ma rencontre avec une élève. Et le Conservatoire… que j’ai raté (rires).

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