The Divine Comedy
Notre avis : Alors voilà, la chose se nomme Foreverland, vient de sortir et nom de Dieu il était temps, puisque le dernier signe discographique de Divine Comedy datait de 2010. Le gars Neil Hannon nous livre de nouveau l'un de ces albums semi-conceptuels (on fête cette année les vingt ans de son Casanova) et nous offre rien moins que du grandiloquent et du rêve (il est question de La Grande Catherine et de La Légion étrangère). Vivement le concert.