Made in Paradise

Proposition atypique que ce Made in Paradise. Donnée en entier, la performance dure cinq heures. Pour la forme courte (celle présentée à La Rampe), seul cinq fragments, choisis par le public, sont joués : la pièce change donc chaque soir. Celle que nous avons vue fonctionnait sur les deux heures de représentation, avec un public réceptif acceptant de se prêter au jeu. Portée par deux performeurs convaincus, la proposition apparaît donc habilement conçue et réfléchie – on devine que le cheminement pour arriver à ce rendu à dû être long, comme nous l’a laissé sous-entendre Yan Duyvendak ci-contre. Après, sur le propos en lui-même, empli de subjectivité, libre à chacun de le juger sur pièce – sur sa pertinence, ses fondements –, la soirée se terminant autour d’un thé pour prolonger le débat qui sera sûrement riche au vu de l’actualité française et des déclarations on ne peut plus critiquables de certains politiques.

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