Artiste peintre, créateur de l'URDLA (Centre International de l'Estampe) et figure imposante de la culture lyonnaise, Max Schoendorff s'est éteint le 20 octobre dernier. En attendant d'en reparler dans notre édition du 7 novembre, hommage de circonstance. Jean-Emmanuel Denave
Nous ne l'avions interviewé qu'une seule fois et rencontré qu'en de trop rares occasions...
Pourtant, en peu de mots et bien des œuvres importantes (la sienne propre en tant qu'artiste et la création du Centre International de l'Estampe dit URDLA, entre beaucoup d'autres engagements et initiatives), Max Schoendorff était l'une de ces rares et essentielles personnalités dont la parole a toujours retenti à nos oreilles d'une immédiate et singulière liberté, d'un esprit critique (et constructif) inentamé à l'heure des arasements artistique et intellectuel.
Max Schoendorff s'est éteint ce samedi 20 octobre. Nous saluons sa mémoire et présentons à sa famille et à ses proches nos très sincères condoléances. Sa disparition nous affecte beaucoup et nous enjoint déjà, comme à beaucoup d'autres sans doute, un exigeant « devoir de consistance ».