Pour oublier un présent anxiogène, rien ne vaut les dystopies — une manière comme une autre d'appliquer l'adage “quand je me regarde, je me désole ; quand je me compare, je me console“. Et justement, trois occasions de se réjouir du malheur des autres se présentent en salle.
Un double bill pour commencer le samedi 12 février dès 20h au Lumière Terreaux en partenariat avec Les Intergalactiques associant Robocop de Paul Verhoeven et New York 1997 de John Carpenter, offrant deux visions prospectives de l'évolution de la délinquance et de la police.
Ensuite, avec Bienvenue à Gattaca d'Andrew Niccol une jolie plongée dans l'eugénisme et le déterminisme absolus lors d'une séance UGC Culte à l'UGC Astoria le 3 février à 20 h et à l'UGC Cité Internationale, le 17 février à 20 h. Finalement, c'est pas pire le présent.