La neuvième édition du festival hivernal de l'Institut Lumière débute le 9 mars et consacre sa soirée d'ouverture à un hommage à l'ancien n°9 de l'OL, Bernard Lacombe.
Pas de film sur le base-ball en revanche — l'un des rares sports à se jouer avec des équipes de 9 — mais jusqu'au 13 mars beaucoup de reprises d'œuvres très récentes ayant un peu souffert lors de leur première exclusivité en salle (Les Joueuses de Stéphanie Gillard, portrait de groupe avec dames de l'équipe féminine de l'OL ; Slalom de Charlotte Favier, histoire d'une emprise destructrice dans le milieu de ski ; Cinquième Set de Quentin Reynaud, ou les désarrois d'un tennisman en perte de repères).
<iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/8shUorVyauI" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>
Bien entendu, il faudra compter sur le documentaire annuel de Marc Sauvourel (la cuvée 2021 s'intitule Azad - l'histoire du judoka iranien Saeid Mollaei), quelques films classiques (La Solitude du coureur de fond de Tony Richardson, Le Champion de Mark Robson ou même Rocky IV : Rocky vs. Drago de Stallone en version director's cut) ainsi que la présence de grands noms comme Clarisse Abgégnénou, Marie José Pérec, Bernard Hinault. Une reprise en douceur.
