Dead or alive

de Corey Yuen (ÉU-Ang-All, 1h26) avec Jaime Pressly, Devon Aoki...


Le co-réalisateur du Transporteur 2 derrière la caméra, le responsable du premier Resident Evil à la production, l'adaptation d'un jeu vidéo connu uniquement pour les poitrines orgueilleuses de ses héroïnes pixellisées, tout était réuni pour faire de ce film LE nanar de l'été. Force est de reconnaître que Dead or Alive y parvient haut la main. Un script inepte enchaîne au petit bonheur la chance des scènes de joute (et de beach-volley) ridiculement mises en scène, des acteurs tous plus mauvais les uns que les autres (libérez Eric Roberts !) s'agitent dans tous les sens, l'atmosphère oscille entre racolage éhonté et pudeur soudaine. Le film essaie tellement de masquer sa vulgarité qu'il en deviendrait presque touchant. Presque. FC


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