Lima Djari


Ne pas se fier au nom du groupe qui signifie «les cinq doigts de la main» en indonésien. Lima Djari sont trois et ils nous viennent de Savoie. Ils font du rock ouvert sur le monde sur un deuxième album qui parle du Syndrome De Stockholm, et qui met en son des textes de cinéma. Ils font du rock saupoudré de big beat et d'instruments ethniques, ils reprennent Ne me quitte pas sur un morceau caché, comme si Fatboy Slim et Morcheeba voulaient en découdre avec la chanson à papa… Bref, Lima Djari, à l'instar du festival Electrochoc, entend bien «provoquer et bousculer les habitudes». Ils auront donc une place de choix lors de la soirée de clôture, le 17 avril aux Abattoirs, pour mettre en scène leur Kinomix issu de samples de 2001, du Prisonnier ou de Gandahar. SL


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