Le gros, la vache et le mainate


En soi, cette opérette manifestement déjantée, pleine de personnages hauts en couleur, d'absurde et de grivoiseries, mérite qu'on s'y arrête en ce qu'elle bouscule les genres, les catégories et même le bon goût (qualité devenue rare au théâtre). Mais comme le texte de Pierre Guillois a été mis en scène par une de nos idoles, l'excellent Bernard Menez, comédien culte chez Rozier et Pascal Thomas, plus aucune raison de résister à la tentation.Du 24 au 28 janvier au Théâtre de la Croix-Rousse.


<< article précédent
Fièvre