Ghostface Killah


Lors de la claque mise au public lyonnais au printemps dernier par son Wu Tang Clan, le «tueur au visage fantôme» portait plutôt bien son nom puisqu'il avait passé l'essentiel du concert une serviette éponge sur la tête (on en aurait bien fait autant, tant la fusion générale menaçait). Seul, l'homme de Staten Island aura fort à faire pour égaler en intensité la performance collective des Shaolins du rap East Coast. Mais il doit en falloir plus que ça pour effrayer l'un des plus prolifiques membres du collectif new-yorkais.Au Kao, le 1er novembre.


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Restless