Sens interdits à pile et face

21 spectacles mais aussi des débats, des lectures, des expos : parce que l'âme d'un festival est aussi composée de ses à-côtés.


Spectacles

De l'incontournable russe Tatiana Frolova qui ouvre les festivités avec sa création Ma petite Antarctique à Des caravelles et des batailles, nouvelle démonstration de la pertinence de la formation dispensé à l'ESACT de Liège, le festival fera passer par le Mexique, le Rwanda, le Kosovo ou la Pologne, 21 spectacles (dont six en première française) prennent ainsi place dans une quinzaine de théâtre.


Bonus

Un festival, c'est aussi un QG. Celui de Sens Interdits se trouve sous la toile du chapiteau posé devant les Célestins. Outre une librairie et un bar, il sera question d'exposition (celle de Femmes en résistance par le photo-journaliste Pierre-Yves Ginet) et de lecture (le texte de la jeune autrice Marilyn Mattei, Mathias ou l'itinéraire d'un enfant paumé, sur l'accueil d'un jeune migrant dans une famille mis en scène par Colin Rey de La Nouvelle Fabrique) vendredi 18 octobre à 11h.

Des débats sont également organisés, en entrée libre : "Théâtre et politique au Mexique" le samedi 19 à 11h et "Théâtre et résistance en Russie" le samedi 26 octobre à 11h. Une rencontre mettant en parallèle la privation de liberté des migrants et des prisonniers intrigue : ce sera le lundi 21 octobre à 18h.

Enfin, le très touchant et pédagogique texte de la Danoise Janne Teller, Guerre, sera interprété par l'excellente Anne de Boissy. À voir, gratuitement, à la médiathèque Max-Pol Fouchet de Givors vendredi 18 octobre à 19h.


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Le feu Taha