Jeudi 8 décembre
Bal lumière |
Pour la deuxième année consécutive, Les Subs s’inscrivent dans la Fête des Lumières. Quatre soirées de danse et de musique par l’Atelier des Artistes en Exil, le collectif chorégraphique A/R et le CNSMD. Leur scène ? Celle qu’a confectionnée pour eux, sous la verrière, Nicolas Paolozzi avec des tubes de néons. Sous le Kraken toujours rugissant, Les Subs deviennent aussi un lieu d’escale de la Fête, restauration comprise. Le parcours et nos conseils sont à retrouver sur notre carte Mapstr !
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Vendredi 9 décembre
Escapades |
Si, après tout cela, il en restait encore certains désireux de fuir la fourmilière de la Fête des Lumières, nul besoin de partir bien loin : des excursions à faire en TER dans la région, une virée à Lélex, une rando dans le Haut Jura, ou une villégiature à Aix-les-Bains... Les conseils de la rédaction et les parcours de vos prochains séjours sont à retrouver dans notre rubrique Escapades.
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Vendredi 9 décembre
Clubbing |
Le cyberpunk (association des mots cybernétique et punk), un sous-genre de la science-fiction proche de la dystopie, où l’on croise intelligence artificielle et cybernétique, est à l’honneur au Grrrnd Zero avec Les Intergalactiques. De 20h à 5h, le son se fera de plus en plus radical, laissant de côté synthétiseurs ronds et chaleureux pour muter en une symphonie industrielle et déstructurée avec DJ sets (Hermeth, Suerte, NKT ou Rabbeat…) et performances.
Tarif : prix conscient autour de 10€
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Samedi 10 décembre
Classique |
Dans un tout autre style, l’Auditorium poursuit ses pérégrinations dans le travail de Beethoven avec coup sur coup deux œuvres majeures du compositeur : sa Sonate pour piano n°29 jouée par la pianiste italienne Beatrice Rana (ce vendredi à l’Auditorium à 20h) et sa Symphonie Pastorale interprétée par l’ONL (samedi).
Tarif : de 8€ à 49€
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Samedi 10 décembre
Artisanat |
Les résidents de Gamut – ancien fort militaire de Saint-Just réhabilité en résidences artistiques – délocalisent une nouvelle fois leur QG pour une journée et s’installent à Chromatique tout le week-end. De 11h à 18h, le public est invité à déambuler dans la friperie solidaire ou dans le marché de créateurs et créatrices de Gamut (peinture, prints, couteaux forgés, bougies artisanales…). On peut bruncher végé et trinquer sur place.
Tarif : entrée gratuite
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Dimanche 11 décembre
Emploi |
La seconde main, c’est déjà has been ? À l'Atelier Soudé, (le Croiseur), on prône la troisième main. L’association organise son vide atelier juste avant Noël, histoire de chiner des objets reconditionnés sur place (informatique, électroménager, son…) ou certains à créer soi-même lors des ateliers créatifs (bouillotte, bijoux…), le tout à prix tout doux.
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Dimanche 11 décembre
Ciné-concert |
Les mangas (et les anime) à toutes les sauces. Quand quelque chose marche, autant l'essorer jusqu'à l'os ! C'est sûrement un peu l'idée de ce Naruto Symphonic Experience, à la Salle 3000 à 14h. Sur le modèle des concerts Disney, qui ont fait nombre d'émules, il s'agit ici de visiter musicalement l'univers du manga culte à l'aide d'un orchestre symphonique sur fond de projection du meilleur des centaines d'épisodes de sa version anime.
Tarif : de 39€ à 59€
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Lundi 12 décembre
Conférence |
À l’Hôtel 71, Anetha — figure majeure de la scène techno contemporaine — nous offre une plongée dans l’industrie musicale. Nouveaux enjeux, carrière d’artiste, écologie…. La boss du label Mama Told Ya joue cartes sur table lors d’une conférence d’une heure aux côtés de Jules Meunier et de Joy Age, à 18h30.
Tarif : gratuit sur inscription
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Mercredi 14 décembre
Concert |
Fishbach avait frappé fort avec son premier album, À ta merci, loué en nos pages. Il lui fallait confirmer avec le second Avec les yeux. Chose faite avec un album moins rentre dedans mais qui étale davantage, jusqu'à l'obsession, un penchant certain pour la décennie 80 et ses chanteuses synthétisées à voix de fausset. Les nostalgiques se projetteront mentalement à l'heure des discothèques. À 20h au Ninkasi Kao.
Tarif : 25€
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Mercredi 14 décembre
Exposition |
En 1993, le peintre Patrice Giorda se lance dans une série de nus et constate : « la beauté du corps m’a toujours moins intrigué que le mystère d’un visage. Je ne suis pas un peintre de l’érotisme. » On pourra découvrir néanmoins des extraits de cette série dans la grande exposition en 150 œuvres que lui consacre la Fondation Renaud. On y verra beaucoup de visages et de portraits : de salariés d’une usine, d’enfants, de détenus, et celui de l’artiste dans ses autoportraits.
Tarif : de 3€ à 6€
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