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Festival Nouvelles Voix en Beaujolais @ Villefranche

Gagnez des places pour le festival Nouvelles Voix les jeudi 21 et samedi 23 novembre au Théâtre de Villefranche.
pour participer : Soyez les 1ers à envoyer un mail à cjeulin@petit-bulletin.fr avec comme objet "Nouvelles Voix" en précisant la date de votre choix.

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JEUDI 21 NOV.
19h00 Théâtre de Villefranche – Le café

Moxobe
Depuis un an ce groupe lyonnais très percussif veut se définir
par un son « Brésilien qui change ». Travaillant sur les innombrables
rythmes de ce pays : de la samba au forró, ils allient
également des touches afro-cubaines et funk. Le répertoire
réunis de multiples esthétiques et évolue dans une ambiance
plus que festive.


20h30 Théâtre de Villefranche – Grande scène

Elisapie
Ambassadrice de la culture inuit, Elisapie représente la beauté
du Grand Nord, un peu sauvage, un peu brute. Un voyage
musical tout en douceur, poétique et lumineux, au pays des
grands froids.
En septembre 2018, Elisapie lance son album The Ballad of the
Runaway Girl. Cette oeuvre marquante dans la carrière de l’auteure-
compositrice-interprète, chantée en inuktitut, anglais et
français, lui vaut une nomination pour le prix Juno de l’album
autochtone de l’année et figure actuellement sur la courte
liste de l'édition 2019 du prix Polaris.
Sa musique dévoile un conte musical d’une inuk expatriée. Elle
y aborde des défis personnels rencontrés en tant qu'enfant
adoptée, mère et amoureuse. Alors que la chanteuse explore
ses racines nordiques et les différentes facettes de sa féminité,
on découvre, plus que jamais, une inuk fière de ses origines qui
travaille à la reconnaissance des difficultés historiques de son
peuple.


La Chica
Sophie Fustec est une artiste franco-vénézuélienne qui a
d’abord adopté le nom de La Chica Belleville, se localisant
dans le quartier pluriculturel de Paris où elle a grandi. Elle est
ensuite devenue plus simplement La Chica, ne revendiquant
plus aucune adresse. Elle flotte alors entre la vivacité musicale
du Mexique où est installé son frère, le Venezuela dont elle
tient des racines par sa mère, et Paris où elle s’est fait connaître
comme un membre essentiel des polyphoniques 3SomeSisters.
La Chica présente un univers moderne et hybride dont l’EP
Oasis, sorti en 2015, en est la première illustration. Elle poursuit
ensuite sa route avec un premier album protéiforme du nom
de Cambio sorti en février 2019 bâti comme un kaléidoscope
de sonorités.
Après avoir étudié le piano, La Chica devient ingénieure du son
et mélange avec sa musique les origines mais aussi les différents
domaines artistiques : la musique, la peinture, le dessin
et le collage. Le cubisme et la vague de pop art des années 80
avec Jean-Michel Basquiat et Keith Haring, ont bercé son enfance
et ses influences se ressentent dans sa musique, créant
un collage de cultures, de textures et de sons.
Entre pop moderne et chants traditionnels d’Amérique latine,
sa musique soulève des problématiques actuelles : féminisme,
multiculturalisme et nous fait voir toutes les facettes des réalités
politiques et sociales du moment.


Delgres
Né il y a quatre ans de la rencontre de Pascal Danaë avec le
batteur Baptiste Brondy et le joueur de sousaphone Rafgee, le
trio Delgrès réinvente un blues chargé d’histoire.
Auteur, compositeur, multi-instrumentiste et chanteur, Pascal
Danaë a participé à de nombreux projets. Avec Delgrès, il affirme
l’envie de réaliser l’harmonie parfaite entre les dimensions
affective, historique, et artistique qui forgent sa personne.
Pascal est originaire de Guadeloupe et ses paroles en
créole renforcent l’évocation de la lutte et du combat pour la
liberté dans les Antilles.
L’une des premières chansons à voir le jour en 2018, Mo Jodi
s’inspire de l’héroïsme d’un personnage incontournable de
la lutte contre l’esclavage dans les Antilles françaises, Louis
Delgrès. En 1802, ce colonel d’infanterie de l’Armée française
a, en vertu de la devise révolutionnaire "Vivre libre ou mourir"
, préféré la mort à la captivité après s’être rebellé contre
les troupes napoléoniennes venues rétablir l’esclavage. Le
morceau rend hommage au sacrifice de Louis Delgrès et cette
figure qui a accompagné le lent mûrissement du groupe a fini
par lui donner son nom.
Nombre de chansons de ce premier recueil révèlent une blessure,
une lésion ou un traumatisme qui sont confiés au pouvoir
guérisseur de cette musique parmi les plus universelles et miraculeuses
qui soit : le blues. La musique fascinante que Delgrès
produit est un savant mélange de rock sous hypnose, de deep
soul et de garage abrasif. À la touche caribéenne de Pascal
Danaë s’ajoutent la puissante pulsation des fûts de Baptiste
Brondy et les lignes de basse reptiliennes du tuba de Rafgee.

SAMEDI 23 NOV.
19h00
Théâtre de Villefranche – Le café

Blu Jaylah
Blu Jaylah est un groupe de hip-hop, mené par la rappeuse
et productrice Eléa Force, qui évolue depuis 2015 sur la scène
lyonnaise en métissant rap, électro et poésie. La formation est
aujourd’hui composée de quatre artistes, avec, en plus de la
rappeuse, un violoncelliste, un saxophoniste et un producteur
de musique électronique.
Découverts par l’équipe d’À Thou Bout d’Chant en 2015 sur la
scène des Valseuses, Blu Jaylah sort un premier album, intitulé
Dans la Lune avec la participation sur deux titres de Sir Jean
(ex-chanteur du Peuple de l’herbe) et de Doctor Lass, auteurs
compositeurs et interprètes Sénégalais. Le groupe a ensuite
suivi le dispositif d’accompagnement Plan B mis en place par
Bizarre !, lieu dédié aux cultures urbaines.
Vainqueur du Buzz Booster Auvergne-Rhône-Alpes en mai 2019,
Blu Jaylah s’est forgé une véritable identité scénique au fil de
ses représentations.


20h30
Théâtre de Villefranche – Grande scène

Zed Yun Pavarotti
Originaire de Saint-Étienne, Zed Yun Pavarotti fait partie de la
nouvelle vague du rap français. Ce jeune homme aux tatouages
faciaux représente la mélancolie d’une jeunesse provinciale
sans but, bercée par l’histoire minière de sa ville.
Intéressé par l’aspect visuel de son art et par le cinéma, il
propose des vidéos singulières qu’il coproduit, comme par
exemple Septembre, ou plus récemment Papillon. Invoquant
autant Johnny Cash que ASAP Rocky, le jeune artiste élabore
un rap poétique et mélancolique qui captive et envoûte dès
les premiers mots.
Son album French cash, sorti en 2019 est un disque produit par
son acolyte Osha. Ces textes présentent un flow mélancolique
et des mots d’un réalisme âpre flottent sur ses morceaux. Sur
scène il extériorise tout ce qui le hante. Vu en première partie
d’Orelsan, de Columbine et de Georgio, le stéphanois est
aujourd’hui pleinement conscient de n’avoir d’autre choix que
de réussir.

SAMEDI 23 NOV.
20h30
Théâtre de Villefranche – Grande scène

Lord Esperanza
Le premier nom de scène de Théodore Desprez, c’était
Speranza. Celui de l’époque « des premiers freestyles et des
premiers clashes dans les chambres de l’internat ». Le patronyme
d’un type romantique et poétique, fan de Basquiat, MC Solaar,
Brel, Shakespeare et Michel Tournier. Plus tard, à l’approche
des 20 ans, le jeune homme ajoute Lord au Speranza, pour faire
des chansons plus revendicatrices.
Lord Esperanza aime aller vite. Neuf projets en cinq ans,
52 morceaux publiés en 2017, des tournées sur plusieurs
continents.
À seulement 22 ans, il s’attache à multiplier les expériences
pour affiner son propos. Bénéficiant d'un riche héritage culturel,
l'artiste nous fait voyager entre tirades introspectives, révoltes
altermondialistes et pointes d'égocentrisme.
2019 est l’année du renouvellement pour l’artiste parisien avec
la sortie de son premier album le 24 mai, Drapeau Blanc, entièrement
produit par le beatmaker Majeur-Mineur.

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