Mardi 13 octobre 2015 Ouvrir une saison d'opéra avec une œuvre aussi hybride que "La Damnation de Faust" de Berlioz peut dérouter. À cette aune, le metteur en scène David Marton a fait le bon choix, s'effaçant pour mieux en servir la richesse musicale.
Pascale Clavel
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