1987, Sidi Fares, un petit village proche d'Alger. Dans un garage secrètement transformé en salle de spectacle, Samir rejoue les plus grands baisers du cinéma que l'Etat censure. « Un dinar la place et bienvenue au Haram Cinéma, le cinéma le plus illégal de toute l'Algérie ! »
La Main de Leïla, vendredi 27 avril à 20h au NEC à Saint-Priest-en-Jarez