Insomniaque panorama 16/17


Le Petit Bulletin crew, au Fil

Depuis plusieurs années, le Fil propose des afterworks gratuits où se succèdent les mixes de tout poil. Pour la première fois et à l'instar du Transbo' à Lyon, le Fil s'associe au Petit Bulletin afin de proposer un afterwork un peu spécial. Se succéderont aux platines les équipes du PB afin de vous proposer leurs sélections musicales qui vont inviteront tantôt à vous dandiner, tantôt à sautiller, tantôt à laisser vibrer en vous le roi du twist. Le but étant de vous faire oublier que les jours se raccourcissent et à vous montrer au moyen de quel bois se (ré)chauffent nos équipes. Au Fil, le 02/11.

Cabaret Voltaire, au Palais des Spectacles

La ville anglaise de Sheffield est une cité qui fut connue sous l'ère industrielle pour son activité sidérurgique. Mais les années 70 ont eu raison, comme dans de nombreuses autres villes, de cette période de développement économique.Sur les cendre encore fumantes de ce déclin industriel, va naître la scène de Sheffield avec de nombreux groupes qui ont marqué l'histoire de la musique. De Joe Cocker à Def Leppard en passant par Human League ou Pulp, de grands noms sont sortis de là-bas. Sheffield est aussi le berceau du label Warp et de groupes electro industriels fondateurs tels que Human League mais aussi Cabaret Voltaire, dont un passage stéphanois est prévu pour le Positive Education Festival. Immanquable. Au Palais des Spectacles, le 10/11.

Filastine, au Clapier

En ouverture du 1001 Music Festival est programmé un artiste hors des sentiers battus. Un hydre artistique d'un nouveau temps. Filastine est né à Los Angeles et vit à Barcelone, produit aussi bien du son que de l'image et assure des lives surpuissants en émotions. Naviguant dans les eaux d'une bass music se nourrisant aux influences des musiques traditionnelles issues du monde entier, les productions de Filastine sont efficaces aussi bien en écoute "passive" qu'en sonorisation de dancefloor fumant. Toujours dans une veine engagée, son dernier projet Abandon, mêle musique et danse pour dénoncer la dégradation de l'humain dans le travail. Au Clapier, le 27/10.


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Requiem for a dream