Et les grands gagnants sont...


La 31e Fête du livre de Saint-Étienne se termine aujour'hui et a mis en avant plusieurs oeuvres par le biais de plusieurs prixremis lors d'une soirée spéciale qui avait lieu cette année à l'Opéra, samedi soir. 
Après Boualem Sansal l'année dernière et son 2084 - La fin du monde, c'est Yannick Grannec qui repart avec le Grand prix de littérature de la Ville de Saint-Étienne pour son roman Le Bal Mécanique.
Le prix des étudiants de l'Université Jean Monnet revient, quant à lui, à Tom Graffin pour Jukebox Motel, un premier roman prometteur.
Stéphanie Dupays rafle le Prix Exbrayat pour sa fiction Brillante qui prend socle sur le monde du travail actuel et les difficultés qu'il peut contenir.
Le journaliste Vincent Duluc, bressan d'origine, lyonnais par son travail de suivi de l'Olympique Lyonnais pour le quotidien l'Équipe, est resté attaché à 76 et aux Verts comme il l'a démontré dans Un Printemps 76, qui sort de la Fête auréolé du prix Fauriel.
Le prix de littérature jeunesse se place dans les bras de Jérôme Bourgine pour La Classe de mer de Monsieur Ganèche
Quant aux Stéphanois, ils ne sont pas en reste avec le dessinateur Deloupy couronné pour Love Story à l'iranienne (prix BD Stas) et Jacques Beauffet, ex directeur du Musée d'Art Moderne de 1998 à 2003, qui voit son Dictionnaire des artistes foréziens du XIXe siècle recevoir le Prix Weiss Neuwirth Ville de Saint-Étienne.


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Fête du livre, jour 2 : Les jeunes prennent le pouvoir des mots