Tel cocu qui croyait prendre


Ervart se pense cocu, sa paranoïa le pousse à faire n'importe quoi… Jusqu'à rendre chèvre son propre psychanalyste. Sa femme Philomène ne parvient pas à le raisonner. Maurice, l'agent secret zoophile, est quant à lui chargé de démanteler un sombre réseau terroriste. Enfin, Anastasia Zilowski, comédienne bilingue, cherche désespérément du boulot… Une immense dinguerie, réinvention de la farce contemporaine, notamment campée par un Vincent Dedienne aussi loufoque qu'on le connaît.

Ervart ou les derniers jours de Frédéric Nietzsche, du 2 au 5 octobre à la Comédie de Saint-Etienne


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Célarié éclipse Streep