À la lisière


Depuis son passage par l'Ecole d'Architecture de Paris-Belleville à l'aube des années 2000, Vanessa Fanuele n'a cessé d'exposer ses œuvres de Berlin à New York, en passant par Marrakech, Bruxelles sans oublier Paris où elle vit et travaille. En vingt ans, son travail protéiforme a sensiblement évolué, se tournant davantage vers le dessin, la peinture, la sculpture et l'installation. Pour sa nouvelle exposition,  Chant I, la plasticienne livre un univers trouble dont les contours spatio-temporels semblent mouvants,  échafaudant les plans d'un monde fait de paysages peints et d'architectures-objets,  questionnant la mémoire, la nature et les espaces mentaux. En référence aux épopées antiques, Vanessa Fanuele poursuit ainsi sa réflexion sur les questions de la quête et du rêve.

Vanessa Fanuele, Chant I,  jusqu'au 26 juin à l'Assaut de la menuiserie


<< article précédent
D’art d’art