A la vie, à l'amour


L'amour a-t-il ses raisons que la raison ignore, et surtout, ses symptômes que la science ne peut expliquer ?  La neurologue Léa Paule se souvient de son patient, Hermann, hospitalisé en psychiatrie 13 ans plus tôt. Amnésique, l'homme ne semblait se rappeler que de quelques mots en russe, et du prénom de son amoureuse de toujours, Olia, dont il était à la recherche depuis des années. Un texte qui aborde le sentiment du point de vue du corps médical, écrit par Gilles Granouillet et mis en scène par François Rancillac, à la manière d'un conte pour tous ceux qui croient à l'amour fou et éternel.

Hermann, les 19 et 20 novembre à l'Espace Culturel Albert-Camus au Chambon-Feugerolles


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Mariera ou mari rapiat ?