Libre


Après avoir usé les partitions de Beethoven, Chopin ou Ravel jusqu'à obtenir une médaille d'or de piano en 2008,  Yannic Seddiki tombe sur l'album du contrebassiste Avishai Cohen, Colors, qui va avoir sur lui l'effet d'une bombe à fragmentation. Le jeune pianiste découvrira également Tigran Hamasyan, Dhafer Youssef et Yaron Herman. Depuis ce choc culturel autant qu'esthétique, le musicien ne cesse de servir avec dévotion le mariage du classique, du jazz, des musiques traditionnelles, du hip-hop et de la pop. 

Yannic Seddiki Trio,  vendredi 19 novembre à 20h30 au Hall Blues Club de Pélussin


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Le compas dans l'oeil