Electro

Chinese Man, c'est un collectif de trois artistes, High Ku, Matteo et Sly, qui se produisent de façon indépendante depuis leurs débuts en 2004 dans leur label Chinese Man Records. 2024 marque la sortie de leur troisième album, « We've Been Here Before », à la croisée des chemins entre le hip-hop, le trip-hop, le dub, l’électro ou encore le reggae. Ils seront accompagnés de Dubanko, qui viendra avec son dub électro mélodique et percutant.

Entre le trip-hop de Public Memory, qui n'est pas sans rappeler les sonorités de Massive Attack, et l'élégance de la harpe de Milla Leika, cette soirée promet de (re)découvrir toute l'étendue de ce que la musique électronique peut être.

Actifs depuis 2018, les Parisiens de Leroy se meurt incorporent des segments électroniques, hypnotiques et abrasifs dans un mélange d’EBM old school et d’éthos punk. Pour cette soirée, d'Orphia les accompagnera avec une cold wave électronique inspirée par l’âge d’or du krautrock.

Pour célébrer l'arrivée du printemps, le Butinerie Festival organise un open air géant avec une programmation axée sur les musiques électroniques, en l'occurrence la house et l'électro, avec les artistes du lineup du festival et ceux du label Dusty Nation : Eugène, L'ébéniste, Bonzi en b2b avec Liam mtmr, Sophia Ben et The Laughing Ben.

Les sons acoustiques et électroniques se mélangent, se transforment et se réinventent dans ce projet composé d'une trompette et de deux ordinateurs. Un voyage sonore créé par trois musiciens, qui débute avec des robots et la bande-son d’un monde urbain pour aller vers d’autres horizons qui se dévoilent progressivement.

Le département de musiques amplifiées de l’école de musique de Vénissieux investit les murs du Périscope pour une soirée carte blanche. La soirée s'ouvrira avec le concert d’A2N, qui offrira une voix soul folk envoûtante, suivi du rendu final d’un stage d’écriture de chansons encadré par l’artiste Victor Lee Gabriel. Ensuite, ce sera au tour d'un duo mêlant machines et voix dans une ambiance pop ambiant, et enfin, l’électro et les sonorités africaines de l'ensemble intergénérationnel Afrotronic clôtureront la soirée.

Le duo Griffure s'élargit en quintette à cordes augmenté d’un dispositif électroacoustique, il oscille entre improvisation, écriture et textes. Composé d'Amaryllis Billet, Léonore Grollemund, Chloé Jullian, Alix Gauthier et Léa Yèche, la nouvelle formation débarque au Périscope pour livrer un spectacle électrique aux chansons sensibles.

Le duo Griffure s’élargit en quintette à cordes augmenté d’un dispositif électroacoustique et oscille entre improvisation, écriture et textes. Composé d'Amaryllis Billet, Léonore Grollemund, Chloé Jullian, Alix Gauthier et Léa Yèche, la nouvelle formation du groupe débarque au Périscope pour livrer un spectacle électrique aux chansons sensibles.

Les DJs de tout poil envahissent le Petit Salon pour une soirée aux platines. Deux salles, deux ambiances : la grande salle sera investie par Maceo Plex, Avnu et Märzhase pour un set sous le signe de la Techno mélodique et de l'Électro, alors que la petite salle sera prise d'assaut par Sheg et Sou pour une ambiance House et Funk.

À la veille du 1er mai, de nombreuses organisations et associations lyonnaises se sont regroupées, et le résultat est le Réveillon des Luttes. Si l'après-midi sera réservée aux ateliers, rencontres, projections et autres, la soirée sera musicale avec trois artistes. À l'affiche : le flow incidsif et les punchlines lourdes du rappeur Davodka, le dub accompagné de violon de Sumac Dub et l'Électro survoltée de Citron Sucré.

Avec NTO (Techno Mélodique), Astrix (Trance), Julien Granel (Electro Pop), Joachim Pastor (Techno Mélodique), Omiki (Trance) et Amiby (Électronique).

À bord d’un vaisseau spatial futuriste, la chanteuse japonaise Kumisolo et son steward guitariste emmènent le public dans une aventure intergalactique aux confins de l’univers. Un voyage aux accents de musique électronique et de jeux vidéo, où le public devra participer pour neutraliser les monstres qui peuplent le cosmos.

Figure majeure de la scène mondiale de la techno actuelle et créatrice du label Rebekah’s Decoy Records, la DJ Rebekah transportera le Sucre avec sa techno puissante, rythmée et impétueuse. Avec elle, JKS, bien connu de la nouvelle génération de la scène électronique, plongera le public dans un univers oscillant entre techno old school des années 90, breakbeat et électro. Finalement, la lyonnaise Brum membre des collectifs Corymb et Infrason, apportera son univers harmonieux de techno mentale et industrielle.

Passé par le Conservatoire d'Orléans et les Beaux-Arts de Bruxelles, Johnny Jane tire ses influences des Strokes, Yung Lean, King Krule et Sébastien Tellier. Son dernier EP sorti en mars, « Désordres », s'éloigne des sonorités qu'il aborde habituellement pour se rapprocher du rock pour chanter la fête et les conséquences de cette dernière. Et c'est ce qu'il vient jouer au Sucre, accompagné en première partie de Charlotte Fever, le duo d'électropop solaire formé en 2018.

Pour cette soirée, la DJ et productrice tunisienne Deena Abdelwahed a préparé un line-up niché dans la musicalité orientale, avec Hassan Abou Alam, qui promet un set repoussant les frontières des genres entre house, break, bass et grim. Il sera suivi d'Ayesha, qui apportera son approche avant-gardiste pour un résultat psychédélique et hypnotique. Et pour finir, la productrice, DJ et performeuse Liliane Chlela, bien connue des scènes électroniques et expérimentales, sera également de la partie.

Pour commencer à se mettre dans l'ambiance de Nuis Sonores, le Sucre invite le gourou du dancefloor Daniel Avery pour une soirée oscillant entre ambiant et électro psychédélique. À cette occasion, il sera rejoint par Ece Özel, qui mêle techno et sonorités électroniques lo-fi dans ses sets.