CARBONE, bis repetita
ARTS par Niko Rodamel le Mercredi 21 octobre 2020 | Porté par la galerie associative Les Limbes, le projet CARBONE 20 propose de repenser la diffusion de l’art actuel et contemporain par les structures (...)
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Chaque semaine, en un coup d'oeil, tous les programmes. un outil pratique et complet pour constituer sa semaine de sorties à Saint-Etienne
Est-ce que depuis le lancement du label Correspondant en 2011, vous consacrez plus de temps à la production ?
Malheureusement pas assez, le label et ma carrière de dj m’occupent énormément mais j’espère qu’il en sera autrement en 2015.
Après trois ans, quel bilan pouvez-vous faire sur le lancement de ce label ?
Je suis fière de nos sorties et de l’évolution du label et j’en tire un bilan plutôt positif. A un niveau plus personnel je dois dire que travailler sur un projet commun, échanger des idées et être embarquée dans le processus créatif d’un autre artiste m’a énormément apporté.
Comment a évolué votre style au cours de ces dernières années ? Est-ce que le terme "techno" est le mieux approprié afin de qualifier la musique que vous jouez ou produisez ?
J’aime la techno mais je ne me considère pas comme un dj techno. J’ai toujours tout mélangé, house, techno, disco, rock, … Quand je produis c’est pareil, Venom sorti sur Correspondant en 2012 a un coté très rock alors que Keep me hanging (Cardini&Shaw) est très house. En ce moment j’aime bien faire de l’ambiant et des trucs un peu bizarres.
Vous êtes active dans le milieu électronique depuis quelques année en France et en Allemagne, quelle est votre vision de l'évolution de ce style en France ? Existe-t-il encore des différences entre ces deux pays sur les musiques électroniques ?
Il se passe beaucoup de chose en France en ce moment et je trouve que la scène électronique française se porte très bien, elle n’a rien à envier à la scène allemande. Je pense qu’il faut arrêter de comparer la France et l’Allemagne. Il y aura toujours des différences entre ces deux pays, la musique électronique n’a pas la même place en Allemagne ou elle a, par exemple, joué un rôle très important après la chute du mur de Berlin notamment à travers la Love Parade.
Est-ce qu'en France, et notamment en province, la musique électronique a changé d'image et de public ?
J’ai l’impression que oui, il y a de très bons clubs et de très bons organisateurs en province comme l’IBoat à Bordeaux et le Sucre à Lyon par exemple. La programmation est pointue, le public est jeune, curieux et plutôt sympa.
Quels sont vos projets pour les mois à venir ?
J’ai un projet avec David Shaw, on prépare notre deuxième EP, l’agenda du label est bien rempli avec une sortie par mois et la préparation de notre troisième compilation. Certains artistes du label travaillent sur leur premier album et moi je continue à voyager tous les week-end…
Êtes-vous déjà venue jouer à Saint-Étienne ? Qu'avez-vous comme image de cette ville ?
Non, c’est ma première fois à Saint-Étienne ! C’est un peu nul mais quand on m’a demandé de venir jouer à Saint-Étienne j’ai pensé à mon père, grand fan des verts et de Michel Platini. Je suis contente de venir jouer pourle Festival du film gay et lesbien de Saint-Étienne, j’espère que j’aurais la chance de voir des films.
Quelques coups de cœur musicaux actuels à partager ?
L’album de C.A.R sur Kill the Dj, DBFC sur HMS (le label de David Shaw), Andre Bratten, Museum of Love, …
Vous vivez désormais à Cologne. Est-ce une ville très active en matière de musique électronique, à l'image du label Kompakt qu'elle héberge ?
Il s’y passe des choses mais c’est sans comparaison avec Berlin ou Paris, Cologne est une ville assez calme et très verte et l’endroit idéal pour décompresser après un weekend en club.
Pourriez-vous en quelques mots convaincre celles et ceux qui ne vous connaitraient pas de venir vous voir le 29 novembre ?
D’abord en ces temps d’homophobie et de «peur et haine de l’autre» je leur conseille de soutenir le Festival du film gay et lesbien et je suis sûre qu’après un ou deux films ils seront de bonne humeur et auront tous envie de venir danser !
Jennifer Cardini Dj set, La Dynamo à Saint-Étienne, samedi 29 novembre
Est-ce que depuis le lancement du label Correspondant en 2011, vous consacrez plus de temps à la production ?
Malheureusement pas assez, le label et ma carrière de dj m’occupent énormément mais j’espère qu’il en sera autrement en 2015.
Après trois ans, quel bilan pouvez-vous faire sur le lancement de ce label ?
Je suis fière de nos sorties et de l’évolution du label et j’en tire un bilan plutôt positif. A un niveau plus personnel je dois dire que travailler sur un projet commun, échanger des idées et être embarquée dans le processus créatif d’un autre artiste m’a énormément apporté.
Comment a évolué votre style au cours de ces dernières années ? Est-ce que le terme "techno" est le mieux approprié afin de qualifier la musique que vous jouez ou produisez ?
J’aime la techno mais je ne me considère pas comme un dj techno. J’ai toujours tout mélangé, house, techno, disco, rock, … Quand je produis c’est pareil, Venom sorti sur Correspondant en 2012 a un coté très rock alors que Keep me hanging (Cardini&Shaw) est très house. En ce moment j’aime bien faire de l’ambiant et des trucs un peu bizarres.
Vous êtes active dans le milieu électronique depuis quelques année en France et en Allemagne, quelle est votre vision de l'évolution de ce style en France ? Existe-t-il encore des différences entre ces deux pays sur les musiques électroniques ?
Il se passe beaucoup de chose en France en ce moment et je trouve que la scène électronique française se porte très bien, elle n’a rien à envier à la scène allemande. Je pense qu’il faut arrêter de comparer la France et l’Allemagne. Il y aura toujours des différences entre ces deux pays, la musique électronique n’a pas la même place en Allemagne ou elle a, par exemple, joué un rôle très important après la chute du mur de Berlin notamment à travers la Love Parade.
Est-ce qu'en France, et notamment en province, la musique électronique a changé d'image et de public ?
J’ai l’impression que oui, il y a de très bons clubs et de très bons organisateurs en province comme l’IBoat à Bordeaux et le Sucre à Lyon par exemple. La programmation est pointue, le public est jeune, curieux et plutôt sympa.
Quels sont vos projets pour les mois à venir ?
J’ai un projet avec David Shaw, on prépare notre deuxième EP, l’agenda du label est bien rempli avec une sortie par mois et la préparation de notre troisième compilation. Certains artistes du label travaillent sur leur premier album et moi je continue à voyager tous les week-end…
Êtes-vous déjà venue jouer à Saint-Étienne ? Qu'avez-vous comme image de cette ville ?
Non, c’est ma première fois à Saint-Étienne ! C’est un peu nul mais quand on m’a demandé de venir jouer à Saint-Étienne j’ai pensé à mon père, grand fan des verts et de Michel Platini. Je suis contente de venir jouer pourle Festival du film gay et lesbien de Saint-Étienne, j’espère que j’aurais la chance de voir des films.
Quelques coups de cœur musicaux actuels à partager ?
L’album de C.A.R sur Kill the Dj, DBFC sur HMS (le label de David Shaw), Andre Bratten, Museum of Love, …
Vous vivez désormais à Cologne. Est-ce une ville très active en matière de musique électronique, à l'image du label Kompakt qu'elle héberge ?
Il s’y passe des choses mais c’est sans comparaison avec Berlin ou Paris, Cologne est une ville assez calme et très verte et l’endroit idéal pour décompresser après un weekend en club.
Pourriez-vous en quelques mots convaincre celles et ceux qui ne vous connaitraient pas de venir vous voir le 29 novembre ?
D’abord en ces temps d’homophobie et de «peur et haine de l’autre» je leur conseille de soutenir le Festival du film gay et lesbien et je suis sûre qu’après un ou deux films ils seront de bonne humeur et auront tous envie de venir danser !
Jennifer Cardini Dj set, La Dynamo à Saint-Étienne, samedi 29 novembre
Crédit Photo : DR
Electro La Dynamo 51 bis cours Fauriel Saint-Étienne
ce spectacle n'est pas à l'affiche actuellement
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