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Art carcéral

Commissaire de l’exposition Quedarse Ciego actuellement présentée à Going Blind, et co-auteur du livre Paños récemment paru aux éditions Le Dernier Cri, Reno Leplat-Torti nous en dit plus sur l’art méconnu des paños, né au sein des prisons américaines. Propos recueillis par Damien Grimbert

ARTS

Art carcéral

Commissaire de l’exposition Quedarse Ciego actuellement présentée à Going Blind, et co-auteur du livre Paños récemment paru aux éditions Le Dernier Cri, Reno Leplat-Torti nous en dit plus sur l’art méconnu des paños, né au sein des prisons américaines. Propos recueillis par Damien Grimbert

Art carcéral

par François Cau

Lundi 16 janvier 2012
7776
LECTURES

par François Cau

Lundi 16 janvier 2012
7776
LECTURES

Que sont exactement les paños ?
Les paños sont des mouchoirs dessinés par des prisonniers américains - en général d’origine chicano, même si ce n’est plus forcément systématique. C’est une manière pour les détenus, qui ne savent pas toujours écrire, de communiquer avec l’extérieur, que ce soit leur famille, leurs associés, les membres de leur gang...  Ils utilisent des mouchoirs comme support parce que c’est ce qu’ils trouvent dans le « package » qu’on leur remet en prison. Et avec le temps, c’est devenu une sorte de tradition.

Depuis quand cette tradition existe-t-elle ?
Il y a plusieurs hypothèses. La plus probable la ferait remonter au début du siècle dans les prisons mexicaines, après la guerre franco-mexicaine. Elle se serait ensuite diffusée dans les Etats du sud-ouest des Etats-Unis, de la Californie au Texas, puis dans le reste du pays.

Avec quoi les détenus dessinent-ils ?
C’est variable, mais la plupart du temps, c’est avec un stylo parce que c’est ce qu’il y a de plus simple à se procurer dans l’univers carcéral. Après, on en a vu faits avec du café, de la cire de bougie, tout ce qui permet de dessiner.

On retrouve souvent des symboles récurrents sur les paños…
Comme le mirador, qui représente l’univers dans lequel ils évoluent, et souvent leur seul horizon. Après, il y a les paños envoyés aux enfants avec des Mickey, des peluches, des oursons. Le visage du clown triste symbolise le regret, la souffrance, celui du clown gai le fait de profiter de l’instant présent. Et il y a aussi toutes les références aux cultures incas, aztèques, mexicaines… C’est vraiment une pratique très codifiée. C’est un moyen d’exprimer leur affection à leurs enfants, leur amour à leur femme, mais aussi de communiquer avec les groupes à l’extérieur par le biais de codes assez variés.

Ces différents codes esthétiques se retrouvent aussi souvent dans les tatouages chicanos, les peintures murales…
Tout est lié, en fait, c’est ce qu’expliquait un des détenus. Quand tu as un atout, un talent en prison, tu auras forcément tendance à l’exploiter. Pour X ou Y raisons mais en général c’est quand même surtout pour obtenir un peu d’argent, un peu de popularité au sein de la prison, c’est vraiment le plus important. Donc les mecs qui font des paños, généralement, ne font pas que des paños. Ils dessinent aussi souvent des tatouages pour leurs codétenus, et ce sont souvent les mêmes qui réalisaient des peintures murales à l’extérieur. D’où cette esthétique commune.

Comment en êtes-vous venu à vous intéresser à cette forme artistique particulière ?
Étant plasticien à la base, j’ai un regard sur la création de manière générale, et je m’intéresse particulièrement aux arts populaires. Il y a quatre ou cinq ans, en glanant sur Internet des petits objets fabriqués en prison, je suis tombé sur des images de paños. L’espèce de puissance qui se dégage du sujet, de sa forme aussi, ça m’a vraiment percuté. J’ai tout de suite essayé de me documenter, mais à l’époque, c’était très difficile de trouver des informations.

De fil en aiguille, vous en êtes venu à correspondre avec deux prisonniers dans le Sud des Etats-Unis…
En fait les détenus envoient leurs paños aux familles à l’extérieur, qui ensuite les vendent en ligne. Ça leur permet de cantiner. Au fur et à mesure des contacts, des courriers, on finit par se parler un peu, se comprendre. Eux acceptent mon intérêt, d’un côté, ça les rend assez fiers et heureux que des gens puissent s’y intéresser. Mais d’un autre coté, ce n’est pas non plus évident pour eux de comprendre si je n’ai pas une espèce d’intérêt lucratif là-dedans, c’est vraiment à double tranchant. Ça prend du temps en tout cas d’établir une conversation avec des mecs comme ça, mais c’est aussi ça qui me fascine dans les paños, ce pouvoir qu’ils ont de créer un contact entre l’univers clos de la prison, leur famille à l’extérieur, et puis des gens comme moi à l’étranger.

Pour terminer, pouvez-vous me dire quelques mots de cette exposition à Going Blind, et du livre qui vient de sortir au Dernier Cri ?
Quedarse Ciego, c’est une exposition qui présente une trentaine de paños issus de ma collection. On l’a d’abord présentée à Nîmes avant de la montrer à Grenoble, et on va essayer de l’emmener à Lyon par la suite. Dans le livre, Paños, Chicanos Prison Art, on retrouve en grande partie la collection de Pascal Saumade, qui est un commissaire indépendant, le directeur d’une galerie nomade, la Pop Galerie, et un grand défricheur de l’art et des cultures populaires en général.  Il y a aussi pas mal de paños de ma collection, et David Sandoval, qui a écrit un texte pour le livre, est l’un des détenus avec lequel je communique régulièrement.

Quedarse Ciego
jusqu’au vendredi 24 février, à Going Blind

Que sont exactement les paños ?
Les paños sont des mouchoirs dessinés par des prisonniers américains - en général d’origine chicano, même si ce n’est plus forcément systématique. C’est une manière pour les détenus, qui ne savent pas toujours écrire, de communiquer avec l’extérieur, que ce soit leur famille, leurs associés, les membres de leur gang...  Ils utilisent des mouchoirs comme support parce que c’est ce qu’ils trouvent dans le « package » qu’on leur remet en prison. Et avec le temps, c’est devenu une sorte de tradition.

Depuis quand cette tradition existe-t-elle ?
Il y a plusieurs hypothèses. La plus probable la ferait remonter au début du siècle dans les prisons mexicaines, après la guerre franco-mexicaine. Elle se serait ensuite diffusée dans les Etats du sud-ouest des Etats-Unis, de la Californie au Texas, puis dans le reste du pays.

Avec quoi les détenus dessinent-ils ?
C’est variable, mais la plupart du temps, c’est avec un stylo parce que c’est ce qu’il y a de plus simple à se procurer dans l’univers carcéral. Après, on en a vu faits avec du café, de la cire de bougie, tout ce qui permet de dessiner.

On retrouve souvent des symboles récurrents sur les paños…
Comme le mirador, qui représente l’univers dans lequel ils évoluent, et souvent leur seul horizon. Après, il y a les paños envoyés aux enfants avec des Mickey, des peluches, des oursons. Le visage du clown triste symbolise le regret, la souffrance, celui du clown gai le fait de profiter de l’instant présent. Et il y a aussi toutes les références aux cultures incas, aztèques, mexicaines… C’est vraiment une pratique très codifiée. C’est un moyen d’exprimer leur affection à leurs enfants, leur amour à leur femme, mais aussi de communiquer avec les groupes à l’extérieur par le biais de codes assez variés.

Ces différents codes esthétiques se retrouvent aussi souvent dans les tatouages chicanos, les peintures murales…
Tout est lié, en fait, c’est ce qu’expliquait un des détenus. Quand tu as un atout, un talent en prison, tu auras forcément tendance à l’exploiter. Pour X ou Y raisons mais en général c’est quand même surtout pour obtenir un peu d’argent, un peu de popularité au sein de la prison, c’est vraiment le plus important. Donc les mecs qui font des paños, généralement, ne font pas que des paños. Ils dessinent aussi souvent des tatouages pour leurs codétenus, et ce sont souvent les mêmes qui réalisaient des peintures murales à l’extérieur. D’où cette esthétique commune.

Comment en êtes-vous venu à vous intéresser à cette forme artistique particulière ?
Étant plasticien à la base, j’ai un regard sur la création de manière générale, et je m’intéresse particulièrement aux arts populaires. Il y a quatre ou cinq ans, en glanant sur Internet des petits objets fabriqués en prison, je suis tombé sur des images de paños. L’espèce de puissance qui se dégage du sujet, de sa forme aussi, ça m’a vraiment percuté. J’ai tout de suite essayé de me documenter, mais à l’époque, c’était très difficile de trouver des informations.

De fil en aiguille, vous en êtes venu à correspondre avec deux prisonniers dans le Sud des Etats-Unis…
En fait les détenus envoient leurs paños aux familles à l’extérieur, qui ensuite les vendent en ligne. Ça leur permet de cantiner. Au fur et à mesure des contacts, des courriers, on finit par se parler un peu, se comprendre. Eux acceptent mon intérêt, d’un côté, ça les rend assez fiers et heureux que des gens puissent s’y intéresser. Mais d’un autre coté, ce n’est pas non plus évident pour eux de comprendre si je n’ai pas une espèce d’intérêt lucratif là-dedans, c’est vraiment à double tranchant. Ça prend du temps en tout cas d’établir une conversation avec des mecs comme ça, mais c’est aussi ça qui me fascine dans les paños, ce pouvoir qu’ils ont de créer un contact entre l’univers clos de la prison, leur famille à l’extérieur, et puis des gens comme moi à l’étranger.

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Quedarse Ciego
jusqu’au vendredi 24 février, à Going Blind

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Sous les étoiles de Paris

De Claus Drexel (Fr, 1h30) avec Catherine Frot, Mahamadou Yaffa, Jean-Henri Compère

Depuis de nombreuses années, Christine vit sous un pont, isolée de toute famille et amis. Par une nuit comme il n’en existe que dans les contes, un jeune garçon de 8 ans fait irruption devant son abri. Suli ne parle pas français, il est perdu, séparé de sa mère… Ensemble, ils partent à sa recherche. A travers les rues de Paris, Christine et Suli vont apprendre à se connaître et à s’apprivoiser. Et Christine à retrouver une humanité qu’elle croyait disparue.

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