Édito du n°1016 - mercredi 25 mai - Petit Bulletin Grenoble
Sympa le petit-déjeuner de presse avec dix intervenants et un seul journaliste. Pas du tout gênant, surtout au vu de la taille de la (très grande) salle qui nous accueillait. Bon, comme visiblement nombre de nos confrères et consœurs étaient attendus ce matin-là (eh oh, vous étiez où ?), il y a au moins de quoi manger (des pains au chocolat) et de quoi boire (du jus de pamplemousse). C’est déjà ça. Sinon on s’y met ? Parce qu’on n’a pas la journée non plus. Et puis parce qu’après 40 minutes d’attente, on peut définitivement déclarer les autres comme perdus pour la cause.
Go. C’est sympa toutes ces personnes qui ne parlent qu’à nous. Faut qu’on soutienne leur regard du coup, et leurs attentes. On matera notre smartphone une prochaine fois.
Trente minutes plus tard : « Des questions ? » Euh, là, comme ça, non. C’est une trop lourde responsabilité pour nos si petites épaules. Surtout qu’on a bien tout compris pour le coup. On s’appelle plutôt si besoin ? On pourrait même se tutoyer maintenant qu’on est si intimes, non ?
De toute façon, on se reverra le samedi 4 juin dans le quartier Henri Wallon de Saint-Martin-d’Hères pour le spectacle. Spectacle qui, au passage, a l’air très chouette (on en parlera dans le prochain PB). Ça valait bien un grand moment de solitude…
