Territoire / The Guardian vient de publier un article qui vante les mérites du Roannais, le présentant comme parfait lieu de villégiature.
« Pourquoi je suis tombée amoureuse de l’Auvergne ? » titre l’article paru la semaine passée dans le célèbre quotidien anglais The Guardian, dont le site internet est l’un des plus lus au monde. A la plume derrière cette question : Carolyn Boyd, journaliste indépendante anglaise spécialisée dans les thématiques de voyage et de tourisme, qu’elle décortique dans la presse internationale la plus prestigieuse, comme Le Times ou le National Geographic.
La tranquillité des villages
Amoureuse de la France, la journaliste s’est récemment promenée en Auvergne au sens très élargi du terme : elle a en effet d’abord fait étape dans le Roannais, du côté de Renaison, de Saint-Haon-le Châtel, de Saint-Alban-les Eaux, des Monts de la Madeleine, avant de parcourir le Livradois-Forez et d’aller découvrir les fameux volcans.
Elle y a apprécié le calme, les « villages or et vert », en référence à la vigne et à la pierre, la possibilité de « flâner dans les ruelles, la teinte ambrée des immeubles rougeoyant sous le soleil de fin d’après-midi », le « paysage vallonné »… Mais aussi, on n’en doute pas, la bonne chère : rappelant que si Lyon est justement perçue comme la capitale française de la gastronomie, Roanne, tirée vers le haut par la « dynastie Troisgros », les vignobles de la Côte Roannaise, domaine Sérol en tête, les fromages (notamment la fromagerie Mons, à la réputation internationale qui dispose de points de vente à Londres), et les chocolats de monsieur Pralus, n’a finalement pas grand-chose à envier à son voisin.
Un article qui en dit long sur la richesse de nos territoires et le fait que le département de la Loire, parfois boudé par ses propres habitants, recèle pourtant de petites pépites qu’il faut se presser de découvrir !
L’article dans son intégralité est à découvrir ici (en anglais)