PB d'or 2017 : spectacle vivant
C'était 2017... le Mardi 19 décembre 2017 | Avec une nouvelle initiative passionnante et un théâtre qui change.
par Aurélien Martinez
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C’est lors d’une partie de Chasse picturale en début d’année à l’Espace Vallès que nous avons découvert le travail d’Alice Assouline. À la surface de ses grandes toiles se confrontaient cauchemar et féerie à coups de pinceaux mystiques. Des narrations figuratives irréelles illustrant les contes populaires glanés par l’artiste au gré de ses déambulations. Diplômée de l’école des Beaux-Arts de Grenoble, faisant ses premières armes artistiques dans la performance, elle a continué son chemin et fait évoluer sa pratique cette même année au sein de la galerie Marielle Bouchard. Avec son exposition Gravité en octobre dernier, les détails contés de ses peintures se sont extraits du cadre pour envahir l’environnement. Entre sculptures et installations, le folklore se mue en un véritable décorum imaginaire où les différentes expérimentations de l’artiste se trouvent intrinsèquement liées. Investissant ce mois-ci pour une résidence de travail les nouveaux ateliers d’artistes plasticiens mis en place par la Ville de Grenoble (boulevard Gambetta, à proximité de la Clé de Sol), il y a fort à parier que nous n’avons pas fini d’entendre parler d’Alice Assouline, dans ces colonnes comme ailleurs.
C'était 2017... le Mardi 19 décembre 2017 | Avec une nouvelle initiative passionnante et un théâtre qui change.
par Aurélien Martinez
Le 9 mars 2017, l’art contemporain s’est infiltré rue Pierre Termier à Grenoble (quartier Vallier–Libération) avec l’ouverture de la galerie Marielle Bouchard. Un nom loin d’être inconnu du milieu artistique local, puisqu’elle fût durant une décennie la directrice du Vog, le centre d’art de Fontaine. À l’issue de cette expérience, Marielle Bouchard et son mari ont décidé d’ouvrir leur propre sanctuaire voué à la création contemporaine. Une initiative plus que bienvenue dans un contexte plastique peu dynamique ces derniers temps à Grenoble. Depuis, l’essai a été transformé avec l’exposition du duo Hesse & Romier, le passage des jeunes artistes Xavier Brandeis et Alice Assouline, et dernièrement la présentation des peintures de Yuanchi Jiang et, surtout, Mengpei Lui – notre PB d’or 2016. Une programmation ambitieuse et éclectique, avec la volonté de s’adresser à tout un chacun car « l’art, c’est pour tout le monde » nous confiait Marielle Bouchard lors de l’ouverture de la galerie. Et ce même pendant les fêtes : rendez-vous jusqu’au 6 janvier pour découvrir les dessins de Géraldine Pastor-Lloret et Wandrille Duruflé.
C’est lors d’une partie de Chasse picturale en début d’année à l’Espace Vallès que nous avons découvert le travail d’Alice Assouline. À la surface de ses grandes toiles se confrontaient cauchemar et féerie à coups de pinceaux mystiques. Des narrations figuratives irréelles illustrant les contes populaires glanés par l’artiste au gré de ses déambulations. Diplômée de l’école des Beaux-Arts de Grenoble, faisant ses premières armes artistiques dans la performance, elle a continué son chemin et fait évoluer sa pratique cette même année au sein de la galerie Marielle Bouchard. Avec son exposition Gravité en octobre dernier, les détails contés de ses peintures se sont extraits du cadre pour envahir l’environnement. Entre sculptures et installations, le folklore se mue en un véritable décorum imaginaire où les différentes expérimentations de l’artiste se trouvent intrinsèquement liées. Investissant ce mois-ci pour une résidence de travail les nouveaux ateliers d’artistes plasticiens mis en place par la Ville de Grenoble (boulevard Gambetta, à proximité de la Clé de Sol), il y a fort à parier que nous n’avons pas fini d’entendre parler d’Alice Assouline, dans ces colonnes comme ailleurs.
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par Aurélien Martinez
Le 9 mars 2017, l’art contemporain s’est infiltré rue Pierre Termier à Grenoble (quartier Vallier–Libération) avec l’ouverture de la galerie Marielle Bouchard. Un nom loin d’être inconnu du milieu artistique local, puisqu’elle fût durant une décennie la directrice du Vog, le centre d’art de Fontaine. À l’issue de cette expérience, Marielle Bouchard et son mari ont décidé d’ouvrir leur propre sanctuaire voué à la création contemporaine. Une initiative plus que bienvenue dans un contexte plastique peu dynamique ces derniers temps à Grenoble. Depuis, l’essai a été transformé avec l’exposition du duo Hesse & Romier, le passage des jeunes artistes Xavier Brandeis et Alice Assouline, et dernièrement la présentation des peintures de Yuanchi Jiang et, surtout, Mengpei Lui – notre PB d’or 2016. Une programmation ambitieuse et éclectique, avec la volonté de s’adresser à tout un chacun car « l’art, c’est pour tout le monde » nous confiait Marielle Bouchard lors de l’ouverture de la galerie. Et ce même pendant les fêtes : rendez-vous jusqu’au 6 janvier pour découvrir les dessins de Géraldine Pastor-Lloret et Wandrille Duruflé.
Crédit Photo : Charline Corubolo
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