Entre-Temps

(Danse)

Chorégraphie de Philippe Decouflé, 2h, dès 12 ans. Un groupe composé de neuf danseurs et d'un musicien de tous les âges se fait entraîner dans un voyage cyclique, une traversée ininterrompue de la scène, toujours dans le même sens, comme le mouvement des aiguilles de l’horloge. Mais à force de répétitions, les variations s'enchaînent et font évoluer la chorégraphie.

La folle journée ou Le mariage de Figaro

(Théâtre)

D’après Beaumarchais, mise en scène de Lucile Lacaze, 2h, dès 14 ans. En 1784, Suzanne, femme de chambre, s’apprête à épouser l’intendant Figaro, mais son maître, le comte Almaviva, exige de déflorer la future mariée. Pour déjouer les plans de l’aristocrate, des alliances inattendues se forment alors que la Révolution se profile et que le comte s’accroche à ses derniers pouvoirs.

Nuit d'ivresse

(Théâtre)

De Josiane Balasko, mise en scène de Julie Hugon, 1h30, dès 14 ans. Tout oppose Simone et Jacques Belin, qui se rencontrent en fin de soirée dans un bistrot. Malgré leurs différences il se retrouvent dans l’ivresse, se racontent et s’inventent. Toutefois, le réveil risque d’être difficile.

Wo-Man

(Danse)

Chorégraphie d'Amala Dianor, 20 min, dès 6 ans. Après sa pièce Man Rec, Amala Dianor confie à la danseuse Nangaline Gomis un solo intime et vibrant prolonge une écriture chorégraphique hybride, nourrie d’influences et de racines profondes, entre filiation artistique et transmission sensible.

Level Up

(Danse)

Chorégraphie d'Amala Dianor, 35 min, dès 8 ans. Dans cette nouvelle création, Amala Dianor orchestre une célébration des danses urbaines (waacking, dancehall, pantsula, krump, new style) portée par onze jeunes danseurs croisant et fusionnant les styles et les cultures au rythme d’une bande-son puissante.

Au-delĂ  des nuages

(Danse)

De Manon Mafrici, mise en scène de Pasquale Fortunato, par la compagnie Gipsy Raw, 50 min, dès 6 ans. Manon Mafrici incarne ici une jeune rêveuse dont les aspirations s’élèvent au-delà des nuages. Un nuage géant prend vie sur scène, occupant tour à tour le rôle d'obstacle, de tremplin et de miroir de ses espoirs, dans une fable mêlant danse, contorsion et illusions pour célébrer l’ambition et la persévérance.

Love

(Danse)

Chorégraphie de Christophe Gellon, par la compagnie Voltaïk, 50 min, dès 6 ans. De retour au festival Karavel, la compagnie Voltaïk présente Love, sa dernière création révélant les multiples nuances de l’amour, de la passion à la tendresse en passant par la joie et la mélancolie, à travers une sélection vibrante et sensible des émotions humaines portée par quatre danseurs.

Souls

(Danse)

Chorégraphie d'Abdou N’Gom, par la compagnie Stylistik, 40 min, dès 8 ans. Réunis pour la première fois sur scène après plusieurs collaborations croisées, le chorégraphe Abdou N’Gom et le beatboxer Willy Amarat, aussi connu sous le nom de Rewind, créent un duo épuré centré sur l’écoute mutuelle, l’harmonie des corps et des sons, où le mouvement et la vibration vocale s’entrelacent et se confondent.

Macéra

(Danse)

Chorégraphie de Youssef Bel Baraka et Fouad Kouchy, par la compagnie Pyramid, 1h10, dès 6 ans. Entre l’énergie du hip-hop et la profondeur d’une écriture contemporaine, la compagnie Pyramid signe avec Macéra, un hommage au voyage et à ses multiples résonances sous forme d'une odyssée physique et spirituelle.

Remonter le col à cet univers cassé

(Théâtre)

Les Ateliers Frappaz organisent trois jours dédiés aux créatrices des arts de la rue, en mettant à l’honneur le souffle de la puissance créatrice des femmes. Au programme, dix-huit représentations, des installations, des sessions de débat et un DJ set de clôture.

Les Jumeaux

(Humour & Café Théâtre)

Dans Bonjour, Au revoir, S’il vous plait, Merci. La trentaine entamée, les Jumeaux reviennent sur scène avec un nouveau spectacle racontant leur vie, de leur naissance à la paternité, le tout entrecoupé de questions existentielles.

Laura Laune

(Humour & Café Théâtre)

Dans Glory Alleluia. Laura Laune revient à Lyon une fois de plus pour y jouer son dernier spectacle Glory Alleluia, nouvelle démonstration de son humour noir auquel aucun sujet n'échappe, pas même les plus délicats.

J'y vais mais j'ai peur

(Théâtre)

De Béatrice Venet, mise en scène de Gautier Boxebeld, 1h, dès 14 ans. Au centre de la scène se tient un vieux synthétiseur. Une femme veut donner un concert, mais la peur la paralyse ; elle cherche alors des stratégies pour y arriver, s'invente des rituels de protection, puis plonge peu à peu au cœur de sa propre réalité.

Dimanche

(Théâtre)

Écrit et mis en scène par Julie Tenret, Sicaire Durieux et Sandrine Heyraud, 1h10, dès 8 ans. À l'extérieur, les éléments se déchaînent. Mais à l'intérieur, malgré les murs qui tremblent et les meubles qui fondent, une famille tente de profiter tranquillement de son dimanche. Au même moment, une équipe de reporters animaliers parcourt le monde pour documenter les dernières espèces vivantes sur Terre.

L'éventail de fer

(Théâtre)

Mise en scène de Peng Chun-kang, 1h, dès 8 ans. Écrite comme une fable traditionnelle inscrite à l’intérieur d’une fiction contemporaine, cette co-création entre la compagnie d’opéra taïwanaise Xiqu GuoGuang, Nicolas Boudier et Joris Mathieu mettra en dialogue le passé et le présent ainsi que l’Asie et l’Occident à travers un jeu de miroir entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas.

MosaĂŻk

(Danse)

Chorégraphie de Mourad Merzouki, par la compagnie Käfig, 1h, dès 7 ans. Pièce chorégraphique rassemblant cinq interprètes, Mosaïk reprend des extraits des précédentes créations de Mourad Merzouki, proposant en même temps une traversée du parcours artistique de la compagnie Käfig.

Human flots

(Danse)

Chorégraphie d'Abdou N’gom, Laurence Munoz et July Legros, par la compagnie Stylistik, 50 min, dès 6 ans. Vingt danseurs Hip-Hop mêlent les danses et se mêlent au public pour rendre hommage à la capacité de celles et ceux qui entreprennent des migrations à trouver leur place là où leur exode les mène.

Les collectionnistes

(Théâtre)

Mise en scène de Christophe Lidon. 1870, Paul Durand-Ruel, marchand de tableaux réfugié à Londres rencontre Claude Monet. De retour à Paris, ce dernier lui présente Renoir, Degas, Pissaro, de jeunes peintres dont il perçoit aussitôt le génie et la modernité. Enthousiasmé par le talent de ces artistes qu'on ne qualifie pas encore d'Impressionnistes, il achète sans compter jusqu'à ce que les huissiers frappent à sa porte.

Le porteur d'histoire

(Théâtre)

Écrit et mis en scène d'Alexis Michalik, 1h35. Par une nuit pluvieuse, au fin fond des Arden­nes, Martin Martin doit enterrer son père. Il est alors loin d’imaginer que la découverte d’un carnet manuscrit va l’entraîner dans une quête vertigineuse à travers l’Histoire et les continents. Quinze ans plus tard, au cœur du désert algérien, une mère et sa fille disparaissent mystérieusement.

Notre avis : Alexis Michalik est, depuis dix ans, l'un des auteurs et metteurs en scène français qui a le plus le vent en poupe - et plein de Molières sur sa cheminée. Faut dire que ses textes sont des puzzles qui tiennent en haleine le spectateur, qui le captivent littéralement. C'est le cas avec ce Porteur d'histoire, joué dans toute la France depuis sa création en 2013 (et parfois simultanément dans différentes villes grâce à plusieurs distributions), cascade de récits familiaux qui s'entremêlent comme autant d'épisodes de série. Pour, bien sûr, arriver au dénouement tant attendu. Diablement efficace.

Senflix

(Impro)

Inspirés par les plateformes de streaming, deux comédiens créent en direct les programmes dont ils ont toujours rêvé.

Complexe comedy club

(Humour & Café Théâtre)

Pour sa nouvelle saison, le comedy club du Complexe café-théâtre revient avec quatre artistes différents chaque soir, qui se succèderont sur scène. Au programme, humour décalé, observation sarcastique de la vie quotidienne et réflexions profondes habilement déguisées en punchlines.